Toutes les critiques de Derrière les murs

Les critiques de Première

  1. Première
    par Thomas Agnelli

    Derrière les murs se présente comme le premier film fantastique français en 3D. De quoi flipper ? Oui, mais pas pour les bonnes raisons. Intimidés par leurs modèles (Les Autres, L’Orphelinat), les réalisateurs se focalisent sur le défi technique au détriment de la peur. Résultat : c’est aussi inoffensif qu’un téléfilm France 3 Auvergne. Dommage pour Laetitia Casta, la seule du casting à y croire.

  2. Première
    par Thomas Agnelli

    Derrière les murs se présente comme le premier film fantastique français en 3D. De quoi flipper ? Oui, mais pas pour les bonnes raisons. Intimidés par leurs modèles (Les Autres, L’Orphelinat), les réalisateurs se focalisent sur le défi technique au détriment de la peur. Résultat : c’est aussi inoffensif qu’un téléfilm France 3 Auvergne. Dommage pour Laetitia Casta, la seule du casting à y croire.

Les critiques de la Presse

  1. A voir à lire
    par Frédéric Mignard

    Un duplicata français de L’orphelinat. Un peu longuet, mais finalement captivant grâce au jeu incarné de Laetitia Casta.

  2. A voir à lire
    par Frédéric Mignard

    Un duplicata français de L’orphelinat. Un peu longuet, mais finalement captivant grâce au jeu incarné de Laetitia Casta.

  3. Nouvel Obs
    par Bernard Achour

    Passée la curiosité de découvrir le-premier-film-français-entièrement-tourné-en-3D, l’effet gadget d’un relief plutôt original (des perspectives quotidiennes en lieu et place de l’habituelle pyrotechnie à base d’objets jaillissants) cède vite la place à la consternation. Romancière en panne d’inspiration recluse dans une bâtisse hantée par des souris et des gamines fantomatiques, Laetitia Casta y mime la terreur sans la moindre conviction, sur fond de mise en scène façon « Louis la brocante » et de scénario aussi stérile que son héroïne. Soit largement de quoi nous ramener très vite à notre condition de spectateur torturé par le poids et l’inconfort de ces satanées lunettes.

  4. Nouvel Obs
    par Bernard Achour

    Passée la curiosité de découvrir le-premier-film-français-entièrement-tourné-en-3D, l’effet gadget d’un relief plutôt original (des perspectives quotidiennes en lieu et place de l’habituelle pyrotechnie à base d’objets jaillissants) cède vite la place à la consternation. Romancière en panne d’inspiration recluse dans une bâtisse hantée par des souris et des gamines fantomatiques, Laetitia Casta y mime la terreur sans la moindre conviction, sur fond de mise en scène façon « Louis la brocante » et de scénario aussi stérile que son héroïne. Soit largement de quoi nous ramener très vite à notre condition de spectateur torturé par le poids et l’inconfort de ces satanées lunettes.

  5. StudioCiné Live
    par Laurent Djian

    L’ambition d’un récit à la Maupassant bifurquant vers Saint-Ange ou Les Autres reste à l’état théorique.

  6. StudioCiné Live
    par Laurent Djian

    L’ambition d’un récit à la Maupassant bifurquant vers Saint-Ange ou Les Autres reste à l’état théorique.