Rabbi Jacob, Orange Mécanique... les films qui inspirent Clovis Cornillac
<p>Premier film réalisé par <strong><link object_id="75785">Clovis Cornillac</link></strong>, l’attachant <link object_id="4624421">Un peu, beaucoup, aveuglément</link> sort le 15 septembre en DVD chez Orange Studio. L’occasion pour l’acteur-cinéaste de commenter cinq œuvres qui l’inspirent et l’impressionnent.</p><p>Damien Leblanc</p>
Chantons sous la pluie de Gene Kelly et Stanley Donen
<p>« Une œuvre extraordinaire à tous points de vue. Elle représente la quintessence de ce que je voudrais faire. C’est peut-être la comédie romantique la plus réussie, et la plus complète. Il n’y a rien de plus rapide comme moyen de communication que la musique, elle nous touche immédiatement. <strong><link object_id="97866">Gene Kelly</link></strong> représente pour moi l’Indiana Jones de la danse, il est à la fois viril et gracieux. »</p>
Les aventuriers de L'Arche perdue de Steven Spielberg
<p>« J’ai parlé d’<link object_id="462291">Indiana Jones</link> à mes producteurs et aux techniciens pour leur donner une idée de l’esprit visuel du film. Machin, mon personnage, n’est pas inscrit dans une forme de réalisme, mais dans un univers plus décalé. Il vit enfermé dans son appartement, de la même façon qu’Indy est coincé dans sa caverne avec des araignées... tout en donnant des cours dans un amphithéâtre. »</p>
Orange mécanique de Stanley Kubrick
<p>« C’est vraiment le contraire de mon film. Moi je parle d’amour, alors que ce chef-d’œuvre s’oppose à l’idée de romantisme et à tout sentiment qui serait bon ou bienveillant. Il va tellement loin dans la violence et la perdition que ça en devient phénoménal. <link object_id="460498">Orange Mécanique</link> m’a construit et pourtant j’en suis très éloigné en termes de qualité de fabrication et de thématiques. »</p>
Les aventures de Rabbi Jacob de Gérard Oury
<p>« Voilà du cinéma populaire, drôle et osé, qui fait écho à des sujets toujours d’actualité. On peut rire ensemble en le voyant. Et la grande bouffonnerie n’empêche pas d’être totalement pris par l’histoire, parce que<strong> <link object_id="90763">Gérard Oury</link></strong> la traite au premier degré. C’est incroyable de réunir ces trois religions et d’évoquer toute la complexité de leurs rapports dans un scénario qui en plus se finit bien. Un pur classique. »</p>
Premier film réalisé par Clovis Cornillac, l’attachant Un peu, beaucoup, aveuglément sort le 15 septembre en DVD chez Orange Studio. L’occasion pour l’acteur-cinéaste de commenter cinq œuvres qui l’inspirent et l’impressionnent.Damien Leblanc
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