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PHOTOS - Emmanuelle Seigner et sa robe torride à Cannes : "Je n'en menais pas large"

La ravissante actrice et chanteuse française Emmanuelle Seigner, 47 ans, est actuellement en pleine promotion de La Vénus à la Fourrure (en salles le 13 novembre), le nouveau film de son mari Roman Polanski pour lequel elle partage l'affiche avec Mathieu Amalric.Loin des polémiques dues à la sortie récente du roman de Samantha Geimer (qui revient notamment à travers son ouvrage sur son viol par Roman Polanski en 1977 alors qu'elle n'avait que 13 ans), Emmanuelle, plus épanouie que jamais, s'est confiée dans les pages du magazine Grazia, actuellement en kiosques. Ainsi, elle qualifie le rôle qu'elle incarne dans cette adaptation de la pièce de David Ives, Venus in Fur, elle-même adaptée du roman de Leopold von Sacher-Masoch, de "premier grand rôle". Il faut dire qu'elle est filmée de bout-en-bout du film et qu'elle offre une partition remarquable, pour une œuvre polanskienne dont elle est très fière et qu'elle trouve "extrêmement féministe".Mais la charismatique actrice revient aussi sur un épisode qui a fait couler beaucoup d'encre lors du dernier Festival de Cannes. Le jour de la montée des marches de La Vénus à la Fourrure, la divine Emmanuelle est apparue au bras de Roman Polanski dans une robe légère et rutilante au décolleté plongeant jusqu'au nombril. Une vision qui a marqué cette édition de la Quinzaine, et qu'elle se rappelle : "Pour monter les marches pour La Vénus à la fourrure, je voulais une robe rouge, parce que c'est fort. C'est Alexandre Vauthier qui me l'a faite, mais entre le moment où j'ai fait les premiers essayages et Cannes, j'avais perdu du poids, du coup elle était trop grande ! J'avais mis du scotch pour que ça tienne mais en bas des marches, Roman m'a dit : 'Ça ne tient pas du tout ! Enlève ton scotch, ça se voit.' Du coup, j'ai tout enlevé en panique. Je n'en menais pas large."L'histoire de La Vénus à la Fourrure : Seul dans un théâtre parisien après une journée passée à auditionner des  comédiennes pour la pièce qu’il s’apprête à mettre en scène, Thomas se lamente au téléphone sur la piètre performance des candidates. Pas une n’a l’envergure requise pour tenir le rôle principal et il se prépare à partir lorsque Vanda surgit, véritable tourbillon d’énergie aussi débridée que délurée. Vanda incarne tout ce que Thomas déteste. Elle est vulgaire, écervelée, et ne reculerait devant rien pour obtenir le rôle. Mais un peu contraint et forcé, Thomas la laisse tenter sa chance et c’est avec stupéfaction qu’il voit Vanda se métamorphoser. Non seulement elle s’est procuré des accessoires et des costumes, mais elle comprend parfaitement le personnage (dont elle porte par ailleurs le prénom) et connaît toutes les répliques par cœur. Alors que l’« audition » se prolonge et redouble d’intensité, l’attraction de Thomas se mue en obsession.La bande-annonce de La Vénus à la Fourrure, en salles le 13 novembre 2013 :