Toutes les critiques de Wattstax

Les critiques de la Presse

  1. Pariscope
    par Virginie Gaucher

    Isaac Hayes, Rufus Thomas, The Bar-kays, Raymond Allen, Albert King, Luther Ingram, Ted Lange, The Staple Singers, Johnny Taylor, The Emotions: de la soul, du funk, du blues, du gospel, du rythm'n blues, toutes les pointures de la soul, qui signent à la Stax records, sont présentes dans « Wattstax », ce « Woodstock du peuple noir ». En pleine période « Black is beautiful », la firme née dans les années 50 organise, le 20 août 1972, un concert géant qui commémore les émeutes du ghetto de Watts, banlieue de Los Angeles, en 1965. Le réalisateur Mel Stuart filme les musiciens mais aussi les habitants du ghetto. Plus qu’un concert mythique, un film politique.

  2. Pariscope
    par Virginie Gaucher

    Le 20 août 1972, Stax records, label consacré à la musique noire, organise Wattstax, un concert géant donné par les artistes de la firme pour commémorer les émeutes de 1965 du ghetto de Watts, banlieue de Los Angeles. Mel Stuart a filmé ce concert mythique, dont le révérend Jesse Jackson est le meneur et l'acteur Richard Pryor le gagman. Soul, funk, blues, gospel, rythm'n blues : toute la musique afro-américaine est représentée à travers les pointures de l’époque Isaac Hayes, Rufus Thomas, The Barkays, Albert King. En se baladant dans les rues du ghetto, en filmant et questionnant les habitants, le réalisateur offre à la musique un contrepoint politique et sociologique. Ce « Woodstock du peuple noir » ressort en version intégrale et copie restaurée.