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C’était sans compter sur un groupe de cinq djeuns qui n’en veulent. Dont quatre américains. Eh ouais, fallait pas les inviter !
Attention, toutefois : parmi eux, il n’y en a vraiment qu’un seul de doué. Il s’agit d’Emile Hirsch (INTO THE WILD). Les autres – Olivia Thirlby (JUNO), Rachael Taylor (TRANSFORMERS), Max Minghella (THE SOCIAL NETWORK) et Joel Kinnaman (EASY MONEY) – font juste tapisserie. Votre mission, si vous l’acceptez ? Douter, mimer la peur, agir bêtement et – qui sait ? – mourir. En revanche, Emile, lui, peut compter sur sa cool attitude, son intelligence (les ampoules s’allument quand un petit gris approche) et son fusil bricolé par un électricien du dimanche pour tracer à travers la ville. D’ailleurs, c’est bien là, le seul attrait de THE DARKEST HOUR – 3D. Son décor. Les avenues rectilignes et les bâtiments imposants confèrent au film, un certain exotisme. Cependant, cet artifice visuel ne suffit pas à dissimuler la vacuité du propos énoncé ici. Finalement, la première scène résume assez bien le film : on y voit Hirsch en train de jouer à un FPS sur son portable. Avancer à la va-comme-je-te-pousse jusqu’au prochain checkpoint, c’est tout ce que propose l’histoire. Quand, ça ne tourne pas au vaudeville. -
Voilà une série B totalement ratée ! Les dialogues sont affligeants d bêtise, les effets spéciaux minables et la 3D ne sert à rien.
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Voilà une série B totalement ratée ! Les dialogues sont affligeants d bêtise, les effets spéciaux minables et la 3D ne sert à rien.
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Au lieu d’être un spectacle imprévisible et époustouflant d’ingéniosité marqué par la promesse d’une 3D fulgurante, The Darkest hour se contente d’être une vaste supercherie où l’on ne peut même pas s’amuser du grotesque des situations, comme dans les films de Timur Bekmambetov (Nightwatch, Wanted, choisis ton destin) qui ici produit... Bref, mettez-vous deux doigts dans une prise de courant ou, plus sûr, achetez-vous une boisson énergisante, cela vous fera sûrement plus d’effet que cet encéphalogramme plat.
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Au lieu d’être un spectacle imprévisible et époustouflant d’ingéniosité marqué par la promesse d’une 3D fulgurante, The Darkest hour se contente d’être une vaste supercherie où l’on ne peut même pas s’amuser du grotesque des situations, comme dans les films de Timur Bekmambetov (Nightwatch, Wanted, choisis ton destin) qui ici produit... Bref, mettez-vous deux doigts dans une prise de courant ou, plus sûr, achetez-vous une boisson énergisante, cela vous fera sûrement plus d’effet que cet encéphalogramme plat.
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C'est tellement idiot qu'on se demande si l'on est pas face à une parodie.
The Darkest Hour