Toutes les critiques de Street Dance 2

Les critiques de Première

  1. Première
    par François Grelet

    Ça commence fort avec une 3D jaillissante, des filles en maillot de bain, des numéros de danse tuants, des couleurs partout et des petites montées d’euphorie vivaces. Puis au moment où il faut se mettre à raconter une histoire, tout se ramollit et la 3D disparaît peu à peu de l’équation, comme les filles en maillot de bain. Ne reste plus que le magnétisme caliente et le déhanchement de l’épatante Sofia Boutella (aperçue dans Le Défi et dans une foultitude de pubs pour Nike). On a vraiment hâte de la revoir. Avec ou sans 3D. Avec ou sans maillot de bain.

Les critiques de la Presse

  1. Public
    par La rédaction de Public

    La bande-annonce ne ment pas. Voilà un film qui bouge avec des performers exceptionnels, pas des acteurs. Les chorés sont bluffantes, créatives, punchy... De la dynamite ! (...) Mais si vous êtes insensible aux contorsions et cherchez un semblant de scénario, passez votre chemin !

  2. Be
    par Mathilde Lorit

    On oublie le scénario et la 3D (dispensable), et l'on se concentre sur les chorégraphies spectaculaires !

  3. Voici
    par Ariane Valadié

    Ca bouge et ça divertit. Ca ne muscle pas le cerveau, mais c'est une friandise qui, au moins, ne fait pas grossir.

  4. Le JDD
    par Barbara Théate

    Sofia Boutella met le feu à l'écran en dansant la salsa façon hip-hop. Son je de jambe et ses "cambrés" sont assez impressionnants pour faire (presque) oublier la platitude de l'histoire.

  5. CinémaTeaser
    par Julien Munoz

    Un goût de réchauffé, que n'arrivent à pimenter ni une 3D exubérante ni des danseurs s'improvisant acteurs.

  6. Télérama
    par Nicolas Didier

    Scénario et personnages raplapla. Et 3 D sans relief... Dommage, car les chorégraphies sont vraiment spectaculaires.

  7. Nouvel Obs
    par Xavier Leherpeur

    Attendre de ce genre de type un minimum de scénario revient à adresser sa requête au Père Noël. Mais un tel degré de minimalisme a rarement été atteint. Reste le plaisir des yeux, satisfait ici par de brillantes chorégraphies, auxquelles le relief n’apporte strictement rien et mis en scène sans aucun allant, ainsi que la plastique avantageuse des danseurs des deux sexes.