Toutes les critiques de Sale Temps pour les pêcheurs

Les critiques de Première

  1. Première
    par Christophe Narbonne

    Présenté à Cannes en 2009 dans le cadre de la Semaine de la critique, ce premier film uruguayen est un petit bijou d'humour noir doublé d'un concentré d'humanité plutôt rare. A la fois film d'arnaques, portrait de losers et réflexion sur la rédemption, Sale temps pour les pêcheurs fait partie de ces miracles cinématographiques venus de nulle part mais profondément universels.

Les critiques de la Presse

  1. Brazil
    par Sylvain Blanchard

    Alvaro Brechner nous livre un film à l'émotion palpable, triste et nostalgique, sur le choix, l'amour et le passé qui ne reviendra plus.

  2. Les Inrocks
    par Romain Blondeau

    (...) drame mythologique, piraté par un humour absurde emprunté aux meilleurs Coen (sans le cynisme).

  3. StudioCiné Live
    par Thomas Baurez

    Si l'ambiance est réussie, l'intrigue en revanche, patine sérieusement et les déboires de ce promoteur à la petite semaine et son lutteur dépressif nous laissent en dehors du ring!

  4. Technik'art
    par François Grelet

    Une fois réglée la question du rythme, les Coen auront trouvé à qui parler

  5. Chronic'art
    par Rémi Boiteux

    Idéalement, "Sale temps pour les pêcheurs" aurait pu être un "Wrestler" latino, voire un astucieux remake du "Tandem" de Patrice Lecomte, auquel d'ailleurs il emprunte une ou deux séquences. Malheureusement, derrière la caméra, Alvaro Brechner semble plutôt s'imaginer en frère Coen au petit pied...

  6. Nouvel Obs
    par Nicolas Schaller

    Le "Prince", un petit escroc aux grands airs de dandy, débarque dans une bourgade paumée d’Uruguay avec son protégé, un ex-champion du monde de lutte aujourd’hui alcoolique, et promet 1 000 dollars à qui le vaincra… Il passe dans cette adaptation du roman de Juan Carlos Onetti, "Jacob et l’autre", quelque chose de la série B noire autant que de la littérature sud-américaine. Un premier film un peu vain mais prometteur où s’impose l’acteur Gary Piquer, vraie gueule de cinoche entre Harvey Keitel et Stephan Eicher !