Toutes les critiques de Notre Enfance à Tbilissi

Les critiques de Première

  1. Première
    par Bernard Achour

    Sur fond d’une Géorgie post-communiste qui s’éveille à la démocratie, ce virage d’un ado vers la délinquance se dilue dans les ellipses.

Les critiques de la Presse

  1. Le Figaro
    par Marie-Noëlle Tranchant

    C'est un des charmes du film de faire respirer les parfums subtils de Tbilissi et de ses habitants. Le cinéma géorgien nous a toujours appris la poésie de vivre. Ce film continue la tradition avec grâce.

  2. La Croix
    par Arnaud Schwartz

    Cette œuvre délicate, refusant la facilité du spectaculaire, oscille à demi-mot entre espoir et désespoir, sans jamais négliger la force du lien qui unit les êtres. "Notre enfance à Tbilissi", d’une belle sobriété, est de ces films qui, derrière une apparente simplicité, laissent imaginer ce qu’ils suggèrent avec peu de moyens. Et touchent par leur absolue sincérité.

  3. Télérama
    par Guillemette Odicino

    Les réalisateurs peignent avec subtilité la période de transition d'un pays soudain livré à lui-même sur le chemin de la ­démocratie. (...) Belle figure surtout que ce petit pianiste que la violence rend soudain silencieux.

  4. StudioCiné Live
    par Thierry Chèze

    On sent à chaque instant du film la tension née de l'instabilité et de cette impression que tout peut basculer à tout moment dans le drame. Un coup d'essai pas entièrement réussi donc mais qui donne envie de découvrir la suite de leur travail.

  5. Critikat.com
    par Gildas Mathieu

    Progressant lentement, ce film privilégie les creux et les ellipses, désosse les moments forts pour ne garder que l’écume de la tragédie. Au niveau visuel, la photographie glisse peu à peu de tons chauds à un glacis embaumant l’image dans un hiver sans fin. Cette retenue générale donne au film son aspect singulier, comme un cri étouffé. Mais elle le prive également d’une certaine énergie.

  6. Les Inrocks
    par Vincent Ostria

    Le film ressemble beaucoup, dans ses grandes lignes, en particulier en raison du contexte historico-géographique, à "Eka et Natia – Chronique d’une jeunesse géorgienne", sorti en 2013, qui avait infiniment plus d’atouts (esthétiques, narratifs, techniques) que cette gentille reconstitution anémique.