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(...) cette fiction dresse un état des lieux tragi-comique. Mais la loufoquerie et l'humanité du personnage, ainsi que la beauté des paysages, ne suffisent pas toujours à la compréhension d'une trame politique reflétant l'infinie complexité d'un pays en proie au chaos.
Toutes les critiques de Le Voleur de lumière
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Cette histoire simple, découpée en tableaux, est zébrée d'images puissantes : le voleur de lumière foudroyé au sommet d'un poteau, un cycliste enlevé avec sa monture par un cavalier... Ces visions sont le dernier rempart contre la banalité amorale qui envahit le présent.
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Hélas, le film dégringole lorsqu'il se pique de dénoncer mafia et corruption, avec étrangers en costume brillant et lunettes noires et sordide strip-tease sous une yourte. Mais on garde en mémoire la singulière poésie de la première heure du film.
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Le réalisateur livre un discours maladroit mais sincère sur le combat contre la corruption, flirt parfois avec le documentaire autobiographique, et réussit néanmoins à nous intéresser à un sujet complexe.
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Malgré un traitement de l’histoire trop anecdotique, Le voleur de lumière finit par imposer sa petite musique et sa dénonciation d’un système politique corrompu.
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Cette histoire d’électricien qui trafique les compteurs d’une bourgade gangrenée par la corruption s’embourbe dans une mélasse poétique où la métaphore éléphantesque le dispute à l’overdose folklorique. Ne pas s’y tromper: malgré sa nationalité kirghize qui pourrait faire passer "le Voleur de lumière" pour un film d’auteur, on est en présence d’un authentique nanar.
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Le voleur de lumière déçoit : sa singularité semble plu stenir de la doxa du cinéma world que d'un réalisateur de talent.