Toutes les critiques de La Mante Religieuse

Les critiques de Première

  1. Première
    par Christophe Narbonne

    Elle s’appelle Jézabel et aime le sexe sous toutes ses formes. Sa prochaine proie : un prêtre. Encombré de symboles judéo-chrétiens et d’une imagerie criarde, ce premier film pavé de mauvaises intentions joue la carte de la provocation light avant de rentrer dans le droit chemin. Amen.

Les critiques de la Presse

  1. Culture box by france Tv
    par Jacky Bornet

    Natalie Saracco réussit son récit initiatique en évitant d’être simpliste, ce qui n’était pas gagné d’avance. Il y a bien quelques scories, comme parfois une direction d’acteurs un peu lâche, imputable à la réalisation d’un premier long métrage. Mais l’ambition du sujet et la beauté formelle du film, l’excellente prestation de Marc Ruchmann, la belle musique d’Ernest Saint-Laurent rattrapent des erreurs de jeunesse, avec la sincérité communicative d’une cinéaste prometteuse.

  2. Le Figaro
    par Marie-Noëlle Tranchant

    le film touche juste malgré son aspect mal dégrossi et son habillage outrancier.

  3. Le Monde
    par Isabelle Regnier

    Pour ses débuts de réalisatrice, Natalie Saracco propose une variation contemporaine terriblement premier degré de ce mythe, marquée par l'indigence de la mise en scène.

  4. Critikat.com
    par Clément Graminiès

    le projet semble avoir été mené en dépit du bon sens : du pitch à la mise en scène, tout frise l’amateurisme chic et toc, comme s’il régnait un étrange parfum de sitcom érotique et ringard.

  5. La Croix
    par Bruno Bouvet

    Le récit, malhabile et parfois complaisant, du parcours d’une jeune artiste découvrant le Christ après s’être perdue dans les excès, jusqu’à vouloir corrompre un jeune prêtre.

  6. Télérama
    par Nicolas Didier

    La rédemption par la foi : c'est le beau sujet du premier film de Natalie Saracco. Hélas, le scénario est maladroit et l'interprétation, inégale.

  7. Le Canard Enchainé
    par David Fontaine

    Attention, risque de tromperie sur la marchandise : loin du film érotique promis par le titre, ce premier long-métrage de Natalie Saracco vire à la bondieuserie saint-sulpicienne, sans profondeur religieuse.

  8. Le JDD
    par Jean-Pierre Lacomme

    Mylène Jampanoï a beau jeter des regards qui se veulent langoureux, la sensualité est absente de ce film qui se voudrait provocateur mais qui n’est que vain.

  9. Le Parisien
    par Pierre Vavasseur

    Scènes surjouées, dramaturgie appuyée, ce film piqué par le mystique est un match de catch à l'issue duquel le spectateur, qu'il ait la foi ou non, finit au tapis.