Toutes les critiques de L'origine de la violence

Les critiques de Première

  1. Première
    par Damien Leblanc

    En visite au camp de concentration de Buchenwald, un jeune professeur découvre une photo qui le pousse à enquêter sur son histoire familiale et sur la Seconde Guerre mondiale : avec ce récit adapté du roman de Fabrice Humbert, Elie Chouraqui livre un perturbant objet de cinéma. Car si les séquences au présent, centrées sur la recherche de vérité d’un héros un poil balourd, paraissent souvent minimalistes, elles laissent place à des flash-back qui jettent un regard intense sur la Shoah. Ce voisin frontal du film de Claude Miller, Un secret, parvient au final à télescoper les époques pour mieux les faire s’éclairer mutuellement. 

Les critiques de la Presse

  1. Le Parisien
    par Pierre Vavasseur

    Mais comme toujours dans ces ambitieuses machines à secrets, la dernière partie est laborieuse car il faut dénouer jusqu'au bout l'écheveau. Ce qui ne manque jamais de provoquer une sensation de longueur. 

  2. Le Monde
    par Noémie Luciani

    Adaptant le livre du même nom de Fabrice Humbert, le réalisateur navigue sans mal entre la quête contemporaine et une reconstitution historique élégante, pour offrir un film très maîtrisé et bien interprété, moins spectaculaire qu’il n’aurait pu l’être, mais bien plus subtil.
     

  3. StudioCiné Live
    par Thierry Chèze

    A l'image d'une partie de son casting, abusant d'un jeu trop théâtral, le cinéaste a la fâcheuse tendance de rajouter de l'émotion là où elle se suffit à elle-même.

  4. StudioCiné Live
    par Thierry Chèze

    À l'image d'une partie de son casting, abusant d'un jeu trop théâtral, le cinéaste a la fâcheuse tendance de rajouter de l'émotion là où elle se suffit à elle-même. Un manque de recul qui gangrène son récit.  

  5. Télérama
    par Samuel Douhaire

    Un sujet costaud (d'après le roman autobiographique de Fabrice Humbert, coscénariste du film), gâché par un excès de pathos et une réalisation qui pèse des tonnes. Les flash-back dans le camp de concentration sont particulièrement embarrassants.

  6. Nouvel Obs
    par Jérôme Garcin

    Toutes les scènes sont appuyées, soulignées par des dialogues didactiques, des acteurs empruntés et une musique emphatique – fût-elle de Beethoven.