Toutes les critiques de Killing Bono

Les critiques de Première

  1. Première
    par Gérard Delorme

    Killing Bono évoque une face cachée du show business en rappelant que pour un groupe comme U2 qui a connu un succès mondial imprévisible, des milliers d'autres restent dans l'ombre. Le film de Nick Hamm détaille leurs désillusions avec une cruauté amusée mais impitoyable (...). Mais à trop vouloir en dire, le film se disperse et finit par lasser.

Les critiques de la Presse

  1. StudioCiné Live
    par Laurent Djian

    Un rien trop sage dans sa réalisation, cette « unsuccess » story reste néanmoins aussi sympa et fougueuse qu’un mini-concert dans un pub irlandais.

  2. Télé 7 jours
    par Philippe Ross

    Un peu long (les digressions vers le polar sont inutiles), ce film attachant vous replongera cependant avec délices dans une époque révolue, où tous les rêves étaient permis.

  3. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    Killing Bono ne serait rien sans ses acteurs

  4. Le Monde
    par Thomas Sotinel

    Cette sujétion des personnages et de l'histoire à l'obligation de rire un bon coup nuit aussi gravement à la chronique nostalgique qu'à la comédie.

  5. Fluctuat
    par Jérôme Dittmar

    Quand on est fauché et sans talent, autant viser petit. C'est la leçon de Killing Bono qui, plutôt qu'un biopic de U2, préfère s'attaquer à Shook Up ! et ses frangins McCormick, vieux potes losers de Bono qui malgré lui les mènera vers la chute. Un film cohérent jusque dans sa sympathique médiocrité.

  6. A voir à lire
    par Sébastien Mauge

    Vrai/faux biopic d’un loser attachant qui mena sa vie dans l’ombre de celle du leader de U2. Dommage que le film exagère trop le propos initial.

  7. Nouvel Obs
    par Guillaume Loison

    Belle idée, inspirée d’une histoire vraie, que cette histoire de spectre négatif, riche en situations cocasses et clampins opiniâtres et savoureux. Bien que le cinéaste la déroule sans génie, il n’en étouffe pas la profonde sympathie qui s’en dégage et finit par sublimer le dernier tiers du film, particulièrement jouissif.

  8. Le Parisien
    par Marie Sauvion

    Le film aurait méritée d'être délesté et resserré d'une poignée de péripéties inutiles.