Date de sortie 19 novembre 2008
Durée 100 mn
Réalisé par Antoine de Maximy
Distributeur Walt Disney Distribution
Année de production 2008
Pays de production France
Genre Film documentaire
Couleur Couleur

Synopsis

Il s’appelle Antoine de Maximy et sa devise pourrait être : « Quand rien n’est prévu tout est possible ! » Il pourrait ressembler à n’importe quel routard s’il n’avait pas trois caméras en permanence sur lui. L’une d’entre elles est même fixée sur son épaule.Il s’appelle Antoine de Maximy et a décidé de conquérir les Etats-Unis : ses routes à pertes de vue, ses paysages grandioses, ses mythes en cinémascope, ses villes immenses, ses communautés, ses stars hollywoodiennes, ses anonymes… D’Est en Ouest, notre voyageur filmeur prend la route. À pied, en stop, en taxi, en bus, à vélo et même… en corbillard ! New York, Miami, Nouvelle-Orléans, Las Vegas… En ligne de mire : Hollywood, où il espère se faire inviter chez une star pour la nuit ! Au hasard du chemin, il va croiser des hommes et des femmes, chacun révèlera sans fausse pudeur, une part de lui-même. Tous ces portraits dessinent un visage aussi touchant que surprenant des Etats-Unis.

Toutes les séances de J'irai dormir à Hollywood

Critiques de J'irai dormir à Hollywood

  1. Première
    par Christophe Narbonne

    Petit rappel : dans l’émission télé J’irai dormir chez vous, Antoine de Maximy s’invite chez les habitants des pays qu’il visite, armé d’une caméra vissée sur son épaule (son troisième œil) et muni d’une autre qu’il manipule lui-même. Pour son premier film, il utilise le même dispositif technique et part à la rencontre des Américains, ces drôles d’Occidentaux. Sur place, il croise un détenu en liberté provisoire, une famille d’Amish méfiants, un psychopathe en puissance, un vendeur de voitures allumé... Bien que répétitif et a priori peu cinématographique, le procédé met en lumière une évidence : les histoires humaines sont d’inépuisables réservoirs d’émotions en tout genre. Tour à tour amusant, édifiant et tendu, J’irai dormir à Hollywood est porté par l’énergie de Maximy (qui se met un peu trop volontiers en scène...) et par la personnalité de ses interlocuteurs. Du cinoche ? Oui, et du vrai.