Toutes les critiques de Crazy Amy

Les critiques de Première

  1. Première
    par Christophe Narbonne

    Quand elle était enfant, son père lui a martelé que la monogamie n’existait pas. Devenue adulte, Amy consomme les hommes comme l’alcool qu’elle ingurgite à haute dose. Sa discipline de vie résistera-t-elle à sa rencontre avec ce délicieux médecin du sport ? Conçu par et pour Amy Schumer, star outre-Atlantique du stand-up et de la télé, Crazy Amy est néanmoins du pur Apatow : l’héroïne part de très loin pour finir "normalisée". D’aucuns pourraient déceler un affreux puritanisme dans ce qui n’est, au fond, qu’une histoire américaine ultraclassique. La force d’Apatow réside dans son traitement démocratique des "deux Amy", qu’il filme avec la même tendresse et la même dérision. 

Les critiques de la Presse

  1. New York Times
    par Sara Stewart

    "Crazy Amy" corrige un grand nombre de clichés dépassés. C'est très drôle et mignon à la fois, et même un peu sentimental. Le film a peut-être la meilleure scène jamais filmée de discussion osée et cochonne qui tourne mal.

  2. Le Parisien
    par Alain Grasset

    C'est drôle, juste, décapant. On y rit énormément.

  3. StudioCiné Live
    par Sophie Benamon

    Les personnages secondaires, cmme souvent chez Apatow, sont particulièrement soignés et le réalisateur distille avec tact références et parodies de la culture populaire moderne. 

  4. Le Monde
    par Isabelle Regnier

    On y retrouve les qualités des productions Apatow : dialogues qui claquent, étoffés par un ping-pong gaguesque de références à la culture pop, attention minutieuse à tous les personnages, y compris les plus périphériques, dont les singularités font le relief du film…

  5. L'Express
    par Sandra Benedetti

    Sous la houlette de Judd Apatow, la partie romantique du film, semée de répliques goguenardes et de scènes parodiques, grince d'ironie légère. Elle est gentillette, comparée à la première moitié de Crazy Amy, hilarante, fantasque, décapée à l'humour truculent d'Amy Schumer

  6. Variety
    par Scott Foundas

    Amy Schumer et Judd Apatow brossent un portrait réussi d'une Marie-couche-toi-là aux prises avec sa première relation sérieuse.

  7. Le Figaro
    par Etienne Sorin

    La fille aux joues rondes n'épargne personne, surtout pas ses collègues acteurs et actrices, et surtout pas elle-même. Son sadomasochisme fait encore des merveilles dans Crazy Amy.

  8. Hollywood Reporter
    par John Defore

    Amy Schumer n'a jamais eu un rôle principal dans un film. Mais son spectacle de stand-up qui parle d'elle et une série TV l'ont préparée pour faire le boulot.

  9. L'Humanité
    par Vincent Ostria

    L’atout majeur de la farce n’est pas sa salacité, mais son naturel, principalement dû à Schumer, dont le scénario s’inspire de sa propre vie. À l’arrivée, une comédie drôle et humaine qui sort des sentiers (re)battus du rire mécanique.

  10. LA Times
    par Rebecca Keegan

    Une comédie, écrite et portée par Amy Schumer et interdite aux mineurs, étonnamment touchante et vraiment drôle.

  11. Direct Matin
    par La rédaction de Direct Matin

    Judd Aapatow livre avec Crazy Amy une grande comédie romantqiue qui combine impertinence et émotion à la perfection. 

  12. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    Judd Apatow comme à son habitude, mêle l’humour potache aux grands sentiments.

  13. Arizona Republic
    par Bill Goodykoontz

    Une fois que la romance a pris son envol, tout le film change. Il devient une comédie romantique plus conventionnelle, mais une comédie avec du vocabulaire grossier. Il reste malgré tout hilarant car Schumer a l'air incapable de ne pas être drôle.

  14. Slate
    par Dana Stevens

    Amy Schumer emmène l'héroïne des comédies romantiques et le féminisme au cinéma où ils n’ont jamais, ou quasiment pas, été.

  15. A voir à lire
    par Loris Hantzis

    Crazy Amy se révèle être un divertissement ambitieux, irrévérencieux et acerbe.

  16. Seattle Times
    par Moira MacDonald

    L'intrigue n'a rien de rafraîchissante (ni la manière dont Apatow, égal à lui-même, fait un film 20 minutes trop long). Mais "Crazy Amy" est une comédie qui fait mouche plus souvent qu'elle ne rate sa cible - et c'est plutôt rare.

  17. Cinoche.com
    par Martin Gignac

    Ni féministe, progressive et encore moins réactionnaire, cette farce tendre, rafraîchissante et caustique tout à la fois demeure tout simplement humaine, recyclant efficacement les clichés les plus éculés.

  18. Libération
    par Julien Gester

    (...) enthousiasmant "Trainwreck", électrisé par le génie de son actrice et scénariste Amy Schumer (...)

  19. Associated Press
    par Lindsey Bahr

    Si vous cherchez une oeuvre plus radicale, vous devriez vous contenter de l'émission télé d'Amy Schumer. "Crazy Amy" est juste divertissant.

  20. Libération
    par Didier Péron

    (...) il faut de toute façon comprendre la démarche du cinéaste comme un effort dialectique visant à surmonter les contradictions termes à termes entre dissidence hédoniste et stabilité amoureuse, guerre des sexes et recherche d’un point d’accord entre individus. 

  21. New York Times
    par Manohla Dargis

    Souvent très drôle, même s'il ne frise jamais le caractère radical des meilleurs, et plus risqués, sketchs d'Amy Schumer.

  22. CinémaTeaser
    par Renan Cros

    Pas désagréable, Crazy Amy laisse un arrière-goût de pas fini, un sentiment diffus de ce qu’aurait pu être une grande comédie féminine et qui hélas, ne reste en l’état qu’une vague romcom collée à l’époque.

  23. Critikat.com
    par Damien Bonelli

    Souvent hilarants, les gags s’empilent comme autant de sketchs sans nuire au déroulé d’un récit qui prépare inéluctablement notre célibattante à sa rédemption par la monogamie

  24. Télérama
    par Jeremie Couston

    (...) les vannes fusent pendant une bonne heure. Puis la comédie romantique ­délurée se ramollit, avant un épilogue tristement normatif, talon d'Achille des films d'Apatow. 

  25. Les Inrocks
    par Jacky Goldberg

    Qu’est-ce à dire ? Que le cinéaste, qui a toujours été obsédé par le legs psychique des parents à leurs enfants – communément appelé névrose –, trouve ici matière à actualiser son cinéma dans une autre écriture que la sienne. Celle d’Amy Schumer a le mérite d’être enlevée, efficace, perspicace.

  26. Village Voice
    par Stephanie Zacharek

    Apatow et Schumer pensent probablement avoir fait un film féministe, mais la réalité est bien différente. C'est un long-métrage conventionnel déguisé en film progressiste.

  27. Nouvel Obs
    par La rédaction du Nouvel Obs

    Il y a deux films dans Crazy Amy. Une réécriture assez académique de Cendrillon (...) Mais aussi un bombardement d'obscénités verbales, des histoires de tampons mal placés (...)