Chair de poule : le film

Trois lycéens et l’écrivain R.L. Stine affrontent les monstres sortis des pages des manuscrits des romans d’horreur pour ados Chair de poule qui ravagent leur petite ville. Quelle belle idée de départ. Jolie pirouette méta, qui promet du Amblin 2.0 : les tourments adolescents, l’étrangeté du voisinage, l’aventure banlieusarde, le "monster of the week"... Sur le papier, du moins. Si le résultat n’est pas aussi excitant que le laissent supposer ses prémices, cette relecture frénétique de la mythologie horrifique américaine reste un joli moment de fun grâce à des monstres très réussis (des nains de jardin maléfiques au design soigné). Et Jack Black est parfait, comme d’habitude. 

Une adaptation amusante, et courageusement exagérée, de la série littéraire.

C'est un voyage, jamais ennuyeux, dans un monde où les histoires et l'imagination sont des outils puissants. Il pourrait pousser les enfants à faire l'une des choses les plus effrayantes possibles : aller chercher un livre.

C'est l'un des rares films d'horreur - enfin un genre d'horreur - que vous et vos enfants pouvez apprécier ensemble.

Jack Black arrive à nous démontrer son talent pour jouer la méchanceté, la distance et la colère - et tout ça d'une manière que nous n'avions jamais vue chez lui auparavant. Tout ça pour dire que ça fonctionne parfaitement.

"Chair de poule" abonde de séquences amusantes, qu'elles soient logiques ou non. C'est une aventure qui devrait plaire aussi bien aux jeunes spectateurs qui découvrent la série qu'aux lecteurs plus anciens qui l'ont dévorée lorsqu'ils étaient enfants.

"Chair de poule" remplit ses objectifs, et c'est tout ce qui importe.

C'est la meilleure friandise que l'on peut avoir à Halloween et ce n'est définitivement pas juste une version à gros budget du "Chair de poule" vu à la TV.

Dans la nuit de Ma nuit au musée, ce divertissement regorge d'idées et de monstres invraisemblables. 

(...) Chair de poule, film en 3D de Rob Letterman, à la fois fantastique et comique, adapté de la série des romans de R.

Spectaculaire par moments mais désespérément inoffensif, Chair de Poule peut néanmoins constituer une bonne introduction à cet univers pour qui souhaiterait le découvrir et se plonger ensuite dans les livres.

Un festival d'effets spéciaux qui ignore les choses élémentaires, comme se présenter avec une histoire intéressante sur les origines des créatures effrayantes qui font des ravages dans la banlieue endormie.

Un savoureux divertissement qui, sans être mémorable, est agréable à regarder  (...)

Les choix de la production conviennent mieux à un téléfilm et la musique de Danny Elfman est gênante et empêche de nous concentrer.

Divertissant et efficace, ce petit cousin de Jumanji devrait, par sa générosité et son exubérance, charmer les grands et les petits enfants. 

Que ce soit dans la pub Nespresso face à George Clooney qui lui "fait des pizzas dans le four de sa maison italienne" ou dans Chair de poule, Jack Black prouve qu’il ne passera plus inaperçu longtemps.

Ça marche à condition de ne pas avoir plus de 10 ans. Avec un rythme en dents de scie et des gags qui tombent à plat, les adultes risquent de s’ennuyer ferme.

Le talent de Jack Black et une multitude de créatures numériques ne suffisent pas à donner vie à ce film parfaitement aseptisé, dans lequel on le comprend vite, rien de vraiment fâcheux n'arrive jamais.
 

La mythologie propre aux contes fantastiques de l’auteur est convoquée pour le meilleur (les effets spéciaux), mais aussi pour le pire (scénario à l’Histoire sans fin éculé, psychologie pour collégien).

Il a fait d'une attachante collection d'histoires décalées et effrayantes, une horreur bruyante, chargée et sans âme.