"Incroyablement flatté d’avoir été pressenti", l’acteur ne présidera pourtant pas le National Endowment for the Arts.
"J’aime Donald Trump, expliquait Sylvester Stallone en début d’année à Variety. C’est un personnage à la Dickens, vous voyez ? Il y a certaines personnes comme Arnold (Schwarzenegger) ou Babe Ruth (joueur de base-ball incontournable aux Etats-Unis) qui dépassent la réalité. Mais je ne sais pas ce que ça peut donner pour diriger le monde."
Quelques mois après ces déclarations, le comédien s'est vu proposer par le nouveau président des Etats-Unis un poste important, celui de président du National Endowment for the Arts, une agence indépendante très influente qui soutient les institutions culturelles du pays grâce à un budget de 150 millions de dollars. Mais l’interprète de Rambo et de Rocky a décliné son offre via un communiqué rapporté par le New York Times où il se dit "incroyablement flatté d’avoir été pressenti", mais où il ajoute que ce travail ne lui correspond pas. Il ne ferme pas la porte à un poste politique pour autant, détaillant qu’il se sent "plus proche des anciens combattants" et qu’il serait "plus efficace en aidant ces héros de guerre à retrouver du travail, une maison et une aide financière qu’ils méritent."
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Sylvester Stallone va-t-il officiellement entrer en politique très prochainement ? Pour l’instant, son actualité officielle est artistique : il sera dans quelques mois à l’affiche des Gardiens de la Galaxie Vol. 2 et a signé pour être la star de la série Omerta, écrite à partir d’un roman de Mario Puzo, l’auteur du Parrain.
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