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Souvenez-vous, en 1993, un premier procès retentissant entache la vie de Michael Jackson et sa réputation : il est alors accusé d'abus sexuels sur mineur. Alors que le Roi de la Pop est au centre des débats depuis sa mort le 25 juin dernier et la sortie du film "This is it" qui montre ses derniers pas sur scène, de nouveaux éléments viennent éclairer cette polémique. Déjà il y a quelques mois, on assistait à un revirement de situation avec un aveu de mensonge de la part de l'accusateur de 1993, Jordan Chandler, qui avait cessé les poursuites contre le chanteur à l'époque en échange d'une grosse somme d'argent.Aujourd'hui le Docteur Arnold Klein, ami et dermatologue du chanteur, donne une explication selon le site TMZ, au fait que "l'accusateur de 1993 avait pu décrire la décoloration des parties intimes de Michael Jackson". Selon lui, le roi de la pop avait l'habitude d'uriner en public, et c'est pour cette raison, prétend-il, que son accusateur a pu si précisément décrire la décoloration des parties génitales de Michael, lors du procès.Pour le médecin, qui a côtoyé le héros de This is it pendant plusieurs décennies, Michael n'aurait jamais touché à un enfant, et c'est seulement cette drôle d'habitude qui aurait jeté le doute sur la culpabilité du chanteur. Le Dr Klein affirme en effet que la star se plaisait à uriner devant une assistance, qu'elle soit composée d'enfants ou d'adultes. Et il cite les nombreuses fois où Michael aurait fait pipi chez lui, dans une tasse ou dans son bureau, et devant du monde ! Une pratique courante pour le chanteur, à laquelle le jeune garçon qui l'a accusé aurait très bien pu assister plusieurs fois, et qui expliquerait pourquoi, selon Arnold Klein, il a pu décrire dans le détail les traces laissées par le vitiligo, la maladie de peau dont souffrait Michael Jackson, sur ses parties intimes.D'après le médecin, Michael Jackson, qui connaît un succès posthume sans pareil au cinéma, trouvait que faire pipi en public était "drôle".