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Emma Watson rencontre quelques problèmes de communication depuis qu'elle a quitté l'Angleterre pour aller étudier aux États-Unis. Et c'est plutôt loufoque !Les Britanniques et les Américains ont beau parler la même langue, ils ont parfois du mal à se comprendre. C'est ce qu'a expérimenté Emma Watson, l'héroïne de la saga Harry Potter, lorsqu'elle a quitté son Angleterre natale pour aller étudier à l'université américaine de Brown, en septembre 2009. En arrivant sur le sol américain, elle n'avait pas imaginé le "fossé culturel" entre son pays et celui de Barack Obama : "Je pensais que j'allais être confrontée à quelques différences de langage mineures, mais en fait, je me rends compte tous les jours de ma difficulté à communiquer", a-t-elle expliqué sur le plateau du Late Show de David Letterman lundi soir, quelques heures avant sa sublime apparition lors de l'avant-première des Reliques de la Mort (partie 1), le septième épisode de la saga Harry Potter."L'autre jour, je me suis coupée et j'avais besoin de ce que j'appelle un pansement ('plaster' en anglais). Je saignais abondamment et je courais dans mon appartement en criant 'Les gars, j'ai besoin d'un pansement, vite', mais ils ne comprenaient pas ce que je disais. Ça a pris à peu près cinq minutes à leur faire comprendre que ce que je demandais c'était un Band-Aid (pansement en américain)", a-t-elle raconté. Plus embarrassant encore, un cafouillage autour du mot 'préservatif' ! "Je ne savais pas du tout que les Américains disent 'rubber' pour le mot préservatif. Pour moi, 'rubber' c'est une gomme. Et en cours, j'ai demandé assez fortement une 'rubber' à mes camarades avant qu'on m'explique ce que ça voulait dire ici... Tout le monde m'a regardé bizarrement, c'était très gênant !".