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VIDEOS - Dino de Laurentiis : retour sur ses plus grands films

Dino de Laurentiis

<strong><strong>Dino de Laurentiis</strong>, l'un des plus grands producteurs cinéma, vient de s'éteindre. Retour sur une carrière monstre.</strong>C'était plus qu'un producteur. Avec le décès de <strong>Dino de Laurentiis</strong>, c'est une légende du cinéma mondial qui vient de disparaître. De ses débuts dans le cinéma italien avec son frère, Luigi, jusqu'aux films les plus fous et les plus ambitieux de <strong>David Lynch</strong> (Blue Velvet, Dune...) ou de <strong>Sam Raimi</strong>, <strong>Dino de Laurentiis</strong> aura marqué son époque et plus généralement le cinéma. Après avoir produit un nombre incalculable de chefs d'oeuvres néoréaliste et plus généralement italien (de Riz Amer à La Strada en passant par le Danger Diabolik de <strong>Mario Bava</strong>), il fut à l'origine d'un système de coproduction international (entre les US et l'Italie notamment) qui fit débarquer toutes les plus grandes stars hollywoodiennes sur les rivages italiens. Anthonny Quinn à Rome ? C'était lui, pour <em>La Strada</em>. <strong>Henry Fonda</strong> et <strong>Audrey Hepburn</strong> à Cinecitta ? Encore lui, pour <em>Guerre et paix</em>... A la fin des années 60, son empire déclinant en Italie, il partit aux US pour produire des classiques seventies comme Serpico, Les 3 jours du Condor ou le dernier film de <strong>John Wayne</strong>, Le dernier des géants. Mais s'il était passionné par le cinéma populaire, il fut aussi à l'origine de la création de films plus "difficiles". On lui doit ains L'Oeuf du Serpent, expérience américaine de <strong>Bergman</strong>, et les films de Lynch... Car De Laurentiis fut l'un des rares producteurs à correctement négocier le virage des 80's. Il enchaina des bijoux comme <em>Le Sixième sens</em>, Conan le Barbare, <em>L'Année du Dragon</em> et <em>Blue Velvet</em> avec une régularité métronomique. <strong>Dino de Laurentiis</strong> était bien une légende. Un producteur génial capable de dénicher les merveilles les plus excentriques comme les succès les plus populaires. Première.fr repasse les films de sa vie...

Dino de Laurentiis, l'un des plus grands producteurs cinéma, vient de s'éteindre. Retour sur une carrière monstre.C'était plus qu'un producteur. Avec le décès de Dino de Laurentiis, c'est une légende du cinéma mondial qui vient de disparaître. De ses débuts dans le cinéma italien avec son frère, Luigi, jusqu'aux films les plus fous et les plus ambitieux de David Lynch (Blue Velvet, Dune...) ou de Sam Raimi, Dino de Laurentiis aura marqué son époque et plus généralement le cinéma. Après avoir produit un nombre incalculable de chefs d'oeuvres néoréaliste et plus généralement italien (de Riz Amer à La Strada en passant par le Danger Diabolik de Mario Bava), il fut à l'origine d'un système de coproduction international (entre les US et l'Italie notamment) qui fit débarquer toutes les plus grandes stars hollywoodiennes sur les rivages italiens. Anthonny Quinn à Rome ? C'était lui, pour La Strada. Henry Fonda et Audrey Hepburn à Cinecitta ? Encore lui, pour Guerre et paix... A la fin des années 60, son empire déclinant en Italie, il partit aux US pour produire des classiques seventies comme Serpico, Les 3 jours du Condor ou le dernier film de John Wayne, Le dernier des géants. Mais s'il était passionné par le cinéma populaire, il fut aussi à l'origine de la création de films plus "difficiles". On lui doit ains L'Oeuf du Serpent, expérience américaine de Bergman, et les films de Lynch... Car De Laurentiis fut l'un des rares producteurs à correctement négocier le virage des 80's. Il enchaina des bijoux comme Le Sixième sens, Conan le Barbare, L'Année du Dragon et Blue Velvet avec une régularité métronomique. Dino de Laurentiis était bien une légende. Un producteur génial capable de dénicher les merveilles les plus excentriques comme les succès les plus populaires. Première.fr repasse les films de sa vie...