Toutes les critiques de Les Nouveaux Chiens de garde

Les critiques de Première

  1. Première
    par François Grelet

    Essai phare critiquant les médias et leurs accointances avec le pouvoir en place, Les Nouveaux Chiens de garde, de Serge Halimi, affiche désormais 15 ans d’âge. Depuis, nombreux sont ceux
    à s’être engouffrés dans la voie du media bashing et du décryptage tous azimuts. Tordante et parfaitement rythmée, l’adaptation ciné du livre donne tout de même l’impression d’arriver un peu après la bataille. N’empêche : le film se sirote sans soif et fait office de salvatrice piqûre de rappel.

Les critiques de la Presse

  1. Rolling Stone
    par Mathilde Lorit

    Neuf mois de montage e un paquet d'accusations font des Nouveaux Chiens de garde un film de combat très efficace, qui invite à regarder autrement le traitement de l'info en France, en particulier en matière d'économie et de faits divers.

  2. StudioCiné Live
    par Thierry Chèze

    Le sens pédagogique de ce documentaire et la qualité du travail d'archives et de montage font pencher la balance du côté de ses auteurs (..) Ce brûlot a le mérite de créer un débat. La parole est désormais à la défense.

  3. Le JDD
    par Danielle Attali

    Un documentaire féroce et drôle, qui veut aussi secouer notre sens critique. C'est fait.

  4. Le Parisien
    par Pierre Vavasseur

    (...) ce documentaire qui ne caresse pas les choses dans le sens du poil apprendra bien des choses au commun des mortels.

  5. Télérama
    par Blottière Mathilde

    Depuis Guy Debord et Pierre Bourdieu, la critique des médias est un exercice rodé, mais ce film lui redonne un sacré coup de fouet. Montage rythmé, alternance d'analyses corsées et d'archives savoureuses... Cette satire féroce et drôle soulève une question essentielle : l'oligarchie médiatique est-elle soluble dans la démocratie ?

  6. L'Express
    par Eric Libiot

    Ce doc ne fait pas dan la dentelle et atteint parfois son but.

  7. Nouvel Obs
    par Marie-Elisabeth Rouchy

    Injuste, outré, parfois drôle, parfois cruel (...) le film est à prendre pour ce qu'il est, un brûlot contestataire.

  8. Nouvel Obs
    par Marie-Elisabeth Rouchy

    "Tous vendus!", estiment Gilles Balbastre et Yannick Kergoat, qui accusent les journalistes français d’entretenir des liens plus qu’amicaux avec les dirigeants politiques et les capitaines d’industrie français, niant en cela leur vocation d’information et de contre-pouvoir. Les réalisateurs se réclament du livre de Paul Nizan, "les Chiens de garde" (1932), et, plus près de nous, de celui de Serge Halimi, "les Nouveaux Chiens de garde" (1997). Injuste, outré, parfois drôle, parfois cruel (quand les accusations formulées sont hélas vérifiées), le film est à prendre pour ce qu’il est, un brûlot contestataire.

  9. Le Monde
    par Jacques Mandelbaum

    Non dépourvu de fondements, le film n'échappe pas aux principaux défauts du genre : le raccourci et la facilité