Titre original Maze Runner : The Death Cure
Date de sortie 7 février 2018
Durée 142 mn
Réalisé par Wes Ball
Avec Dylan O'Brien , Kaya Scodelario , Nathalie Emmanuel
Scénariste(s) TS Nowlin
Distributeur 20th Century fox
Année de production 2018
Pays de production Etats-Unis
Genre Film de science-fiction
Couleur Couleur

Synopsis

Dans ce dernier volet de l’épopée LE LABYRINTHE, Thomas et les Blocards s’engagent dans une ultime mission, plus dangereuse que jamais. Afin de sauver leurs amis, ils devront pénétrer dans la légendaire et sinueuse Dernière Ville contrôlée par la terrible organisation WICKED. Une cité qui pourrait s’avérer être le plus redoutable des labyrinthes. Seuls les Blocards qui parviendront à en sortir vivants auront une chance d’obtenir les réponses tant recherchées depuis leur réveil au cœur du Labyrinthe.

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Critiques de Le Labyrinthe : le remède mortel

  1. Première
    par Leïla De la Vaissière

    Les Blocards échappés du Labyrinthe doivent retrouver leur compagnon Minho, détenu par l’organisation WICKED qui cherche à guérir le mal qui ronge la terre en faisant des expériences sur les jeunes sujets du Labyrinthe. Thomas, Newt et leur équipe de rebelles se lancent à sa recherche, à travers les méandres de la Dernière Ville, QG de l’état totalitaire dirigé par WCKD. Wes Ball avait l’intention de créer trois films que l’on puisse distinguer du premier coup d’œil par les couleurs emblématiques : le premier est centré sur la nature, le deuxième se noie dans l’ambiance ocre de la Terre Brûlée, et le dernier dans la froideur métallique de la ville totalitaire. Les éléments classiques sont repris : les jeunes hors du commun, la population décimée par un événement inattendu, le contrôle permanent de l’état sur la population, la technologie futuriste … C’est un film objectivement divertissant, mais rythmé par des scènes cliché qui laissent un goût amer de déjà vu. On se surprend cependant à être happés par l’énergie des multiples scènes d’actions et par une certaine originalité macabre : des personnages de premier plan sont éliminés du tableau, alors qu’on s’attendrait plutôt à ce qu’ils soient sauvés au dernier moment. Bien partie, avec son univers fantastique connecté à nos peurs les plus intimes (les monstres arachnoïdes terrifiants qui grouillent dans les recoins sombres du labyrinthe, endroit mystique dont il paraît impossible de s’échapper), cette saga laisse comme un sentiment d’inachevé. 

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