What We Do In The Shadows : Haley Joel Osment voit encore des gens qui sont morts !
FX/Entertainment Weekly

L'acteur de Sixième Sens rejoint la saison 2 de la série inspirée de Vampires en toute intimité.

Après une première saison réussie, très divertissante sans pour autant copier coller le faux docu Vampires en toute intimité, la série What We Do In The Shadows se poursuit logiquement avec une saison 2, toujours concoctée par Jemaine Clement. "On a des super guest stars dans cette suite, se félicite l'acteur, scénariste et producteur auprès d'Entertainment Weekly. Les fans reconnaîtront Haley Joel Osment dans le premier épisode. Tout le monde l'adore ! C'est un acteur très talentueux, évidemment, mais on ne savait pas qu'il était aussi drôle. Il apparaît seulement le temps d'un épisode, mais son personnage représente un grand changement. Il doit jouer quelqu'un de plus inquiétant."

Le magazine américain partage une photo où le comédien apparaît effectivement... en mort vivant. Un comble pour l'acteur révélé enfant dans Sixième sens ! "Oui, c'est drôle, répond l'intéressé en riant. Je voyais des gens morts dans mon premier grand rôle et là, je reviens au cimetière. Littéralement."

Son personnage, Topher, est adoré par les vampires, sauf Guillermo (Harvey Guillén), qui est fou de jalousie en le voyant débarquer. Même si l'équipe ne veut pas trop spoiler son sort, on comprend qu'il ne fera pas long feu dans cette saison 2, mais cela n'inquiète absolument pas Haley Joel Osment : "Sur ce show, je ne sais pas si les personnages disparaissent si facilement. Je ne pense vraiment pas que c'est la dernière fois qu'on verra Topher. Je ne sais pas trop ce qui va se passer dans les autres épisodes, mais je peux vous dire que le monde surnaturel va continuer à s'étendre. Les fans vont découvrir des tas de nouvelles créatures qui se cachent sur Staten Island."

La saison 2 de What We Do In The Shadows arrivera le 15 avril sur FX, puis sans doute dans la foulée sur Canal + séries.


 

Que vaut la série What we do in the Shadows, adaptée du film ? (critique)