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Interrogé par Télé 2 semaines sur ses quatorze ans de Vivement dimanche, Michel Drucker dément les rumeurs d’une émission en access les vendredis et samedis. Il en profite également pour souligner le talent de Cyril Hanouna.

A l’occasion de la sortie de son livre, De la lumière à l’oubli, Michel Drucker a accordé une interview à nos confrères de Télé 2 semaines. Il s’y  étonne de la durée de son émission Vivement dimanche, à l’antenne depuis 1998 sur France 2 : "Vivement dimanche existe depuis quatorze ans, faire mieux que Jacques Martin, qui a tenu 22 ans, serait un défi". Pourtant l’animateur a toujours plusieurs projets à la télévision, dont, peut-être, une émission spéciale Alain Delon…En revanche, en ce qui concerne les rumeurs d’une émission quotidienne, rien de nouveau n’est prévu. Les médias annonçaient ces derniers temps que Michel Drucker pourrait être amené à présenter une émission, avant 20h les vendredis et samedis sur France 2 (Laurent Ruquier prenant les autres jours de la semaine, ndlr). "Être aussi à l’antenne les vendredis et samedis en access ? Pour moi, ce n’est pas d’actualité" répond le maître du PAF. "Avec les J.O d’hiver et le Tournoi des Six Nations, il ne pourra pas y avoir d’émission régulière avant mars. Ça ne laisse ensuite que deux mois avant la fin de la saison, un peu court pour s’installer" explique-t-il au magazine.Et si Michel Drucker ne veut pas se lancer dans un nouveau programme, par peur de manque de temps, il n’hésite pas à encenser l’un des animateurs qui cartonnent actuellement en avant-soirée, Cyril Hanouna. "Il est drôle, c’est la star de D8" confie le présentateur de France 2. "Il me rappelle Arthur. Il sait qu’une carrière de quarante ou cinquante ans, c’est impossible. Mais c’est quelqu’un d’intelligent, qui pense aussi à être producteur".  Un compliment qui fera certainement plaisir à l’intéressé. Michel Drucker émet quand même quelques doutes face au succès de l’animateur de Touche pas à mon poste, "il est à la mode, mais il ne faut pas qu’il s’use". A bon entendeur.