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PHOTOS - Léa Seydoux : "J'étais livrée à moi-même pendant mon enfance"

Léa Sedoux : "J'étais livrée à moi-même pendant mon enfance"

Léa Sedoux : "J'étais livrée à moi-même pendant mon enfance"

Léa Sedoux : "J'étais livrée à moi-même pendant mon enfance"

Léa Sedoux : "J'étais livrée à moi-même pendant mon enfance"

Léa Sedoux : "J'étais livrée à moi-même pendant mon enfance"

Léa Sedoux : "J'étais livrée à moi-même pendant mon enfance"

C'est dans les pages du magazine Elle que Léa Seydoux a décidé cette semaine de se livrer et de nous raconter son enfance, sa jeunesse, ses parents et ses petits secrets de famille.Comme un voyage dans le temps, en pleine promotion de son nouveau film régressif, La Belle et La Bête aux côtés de Vincent Cassel, Léa Seydoux ne peut s'empêcher d'évoquer ses souvenirs de petite fille, comme si interpréter un personnages Disney sur grand écran lui faisait perdre 20 ans.Et alors qu'on apprend, entre les lignes, que sa grand mère s'appelait Hélène, que Léa en a hérité en deuxième prénom, qu'elles sont toutes deux nées un 1e juillet, que Léa fredonnait des airs d'opéra étant fillette, qu'elle est fan de Michael Jackson ou encore qu'elle a la bouche de sa mère et les yeux de son père, c'est surtout le récit de l'enfance de Léa qui est marquant."J'étais livrée à moi-même pendant mon enfance". La mère de Léa n'était pas très présente, oiseau de nuit, elle se levait trop tard pour surveiller ses enfants, au point que l'école était juste une option comme confie Léa : "L'école, je n'y suis jamais allée beaucoup". Son professeur, et directeur du Cour Carnot, Monsieur Dana se souvient de la jeune Seydoux : "Un tel manque d'assurance ! Elle traversait une époque difficile. Un cadre familiale chaotique... Elle ne vivait pas dans un cocon..."Et même si la blondinette n'a pas connu que des années d'enfance heureuse, c'est avec douceur et nostalgie qu'elle évoque son père :  "Le week-end il nous offrait des films. Mon père nous a beaucoup emmenées au musée. Il était plus savant que les guides".Mais, quand à 18 ans, Léa rate son bac (elle ne s'est pas réveillée) et annonce à sa famille qu'elle arrête les études pour devenir actrice, le gentil papa ne prend pas la chose avec bonne humeur : "Actrice ? C'est quoi ce truc ? Ça ne marchera jamais !". La sœur aînée de Léa, Camille Seydoux, complète l'histoire : "Il craignait de nous voir devenir des personnes qui ne font rien de leur vie".Mais, celle qu'on surnommait "Léa Deux de Tension" quand elle était enfant, a fait du chemin et a su aujourd'hui conjuguer rêverie et vrai métier en étant aujourd’hui une actrice française des plus sollicitées de sa génération.Retrouvez Léa Seydoux, à l'affiche de La Belle et La Bête de Christophe Gans, le 12 février en salle : MC