L'année dernière, après Antoine de Caunes, Karim Benzema ou encore Muriel Robin, Gad Elmaleh devenait l'égérie publicitaire des banques LCL. Très critiqué, le spot publicitaire n'avait pas enthousiasmé le public du comique. Aujourd'hui, dans les colonnes de TV Magazine, l'acteur de 43 ans revient sur cette collaboration mal perçue et révèle son avenir avec LCL."J'ai entendu les critiques, mais j'assume. Je ne vais pas me désolidariser de ce projet que j'ai aimé faire sous prétexte que cela a déplu" déclare-t-il dans un premier temps avant de faire l'analyse des répercussions de sa publicité LCL : "Il y a celles et ceux qui, de toute façon, ne vous aiment pas. Donc même une publicité pour le gruyère, ils y auraient trouvé à redire ! Et il y a les autres. Pour eux, la scène c'est sacré. Ils m'ont dit: 'Ne fais pas le con avec ça' et j'ai entendu" ajoute-t-il, conscient d'avoir froissé son fanclub, mais sans jamais perdre son légendaire humour : "Pour la petite histoire, vu l'augmentation du nombre de clients pour la banque, celle-ci m'avait proposé une seconde vague de publicités. J'ai décliné. Tiens, je vais proposer le plan à Kev Adams !" conclut-il.Le 16 mai prochain, Gad Elmaleh fêtera, sur TF1, ses vingt ans de scène. L'occasion pour l'artiste, qui se revendique toujours "artiste populaire" de faire le bilan, entre rire, émotions et thérapie : "Je fais ce métier pour des raisons artistiques, mais aussi parce que j'ai toujours voulu être aimé. Grâce à ce métier, j'ai pu soigner ma grande timidité avec les femmes. J'en étais totalement fou, mais en même temps très inhibé devant elles et incapable de leur adresser la parole. La scène m'a beaucoup aidé. Vraiment, je le prescris aux grands timides!"Gad Elmaleh fera prochainement son grand retour au cinéma dans la comédie déjantée de de Franck Gastambide, Pattaya. Il partagera l'affiche avec avec Malik Bentalha, Sabrina Ouazani, Ramzy Bedia et sa partenaire de jeu, Nathalie, un orang-outan imposant. De quoi parlera le film ? Pour l'instant, le réalisateur des Kaïra a simplement livré ce pitch : "Good guys go to heaven. Bad guys go to Pattaya".(function(d, s, id) { var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0]; if (d.getElementById(id)) return; js = d.createElement(s); js.id = id; js.src = "//connect.facebook.net/en_GB/sdk.js#xfbml=1&version=v2.3"; fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);}(document, 'script', 'facebook-jssdk'));Je vous prMC
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