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Non il ne s'agit pas de la nouvelle maison de Barbie, ni de l'Overlook, l'hôtel flippant de Shining. Cette grande bâtisse rose layette, c'est celle de The Grand Budapest Hotel, le dernier long-métrage de Wes Anderson (À bord du Darjeeling Limited, Fantastic Mister Fox). Après le maintes fois nominé Moonrise Kingdom, le cinéaste revient sur le devant de la scène avec un projet de grande envergure, riche en têtes d'affiche.Pour The Grand Budapest Hotel, Wes Anderson a fait son marché dans le cinéma français (Mathieu Amalric et Léa Seydoux), britannique (Ralph Fiennes, Jude Law, Tilda Swinton) et bien sûr américain (Owen Wilson, Edward Norton, Bill Murray...). Des acteurs mondialement connus, réduits sur le poster à une fine écriture colorée, comme avalés dans l'immensité d'une affiche qui fait la part belle à son principal protagoniste : l’hôtel. Car c'est bien cet imposant colosse rose, dressé fièrement au centre, qui est le sujet du film. Un hôtel de toute beauté comme le théâtre d'une comédie dramatique riche en intrigues à tiroirs : L’histoire du concierge légendaire (Ralph Fiennes) d’un célèbre hôtel européen, durant l’entre deux guerres, mais aussi de son amitié avec un(e) jeune employé(e) qui devient son (sa) protégé(e). L’histoire implique également le vol d’une peinture de la Renaissance, la bataille pour une énorme fortune familiale et le lent bouleversement qui transforme l’Europe durant la première moitié du XXème siècle.Pour le moment, The Grand Budapest Hotel ne dispose d'aucune date de sortie. Étonnant quand on sait que le film en est à l'étape de la post-production.