Bande-annonce de Comme des Bêtes, le Toy Story des animaux
Universal

Chiens, chats, perruches et lapins ont une vie bien remplie quand leurs maîtres ont le dos tourné.

Les créateurs des Minions ont cartonné durant l'été 2016 grâce à Comme des Bêtes, un film d’animation pour toute la famille dédié aux animaux de compagnie. Que font nos chiens, chats, oiseaux et rongeurs quand on les laisse seuls à la maison ? Ne croyez surtout pas qu’ils attendent sagement derrière la porte pendant des heures…

 

 

Comme des bêtes élu blockbuster le plus rentable de 2016

Ce film d'animation pensé comme "le Toy Story des animaux" dévoile ainsi quelques occupations cachées : vider le frigo, jouer à des jeux vidéo, se masser à l’aide du mixeur de la cuisine ou encore écouter du métal à fond ! Le résultat avait bien plu à Première, qui vous le conseille, à l'heure où Comme des Bêtes est reprogrammé ce soir sur France 4.

 

 

Chris Renaud : "Le mot cartoon est devenu un gros mot"

Voici notre critique : Max adore sa maîtresse qui le lui rend bien. Lorsqu’elle revient avec Snowball, grosse boule de poil errante, Max voit son monde s’effondrer : il doit la partager avec un malotrus ! Un beau jour, leur promeneur les perd. Les deux chiens vont devoir affronter la fourrière et une bande d’animaux domestiques rebelle qui veut tuer les humains.

Avec Pierre Coffin, Chris Renaud est le créatif en chef d’Illumination Entertainement, le studio d’animation lié à Universal pour lequel les deux larrons ont dessiné les contours de l’esprit maison : du fun, du fun, encore du fun. Co-tête pensante de la franchise Moi, Moche et Méchant et du mésestimé Le Lorax, le réalisateur américain a laissé son compère français gérer Les Minions (avec le succès que l’on sait) tandis qu’il planchait sur Comme des Bêtes, appelé à devenir, sans aucun doute, un nouveau succès planétaire. Les deux larrons ont clairement trouvé la formule magique, à savoir un pitch fédérateur et décalé (après le triomphe des « freaks and geeks », celui des animaux de compagnie), une morale comme il faut (qui tourne ici autour de la valeur de l’entraide), une caractérisation au poil et un sens aigu du slapstick. Tout, ou presque, est drôle dans Comme des Bêtes, qui tient à la fois du buddy movie animalier, de la bromance canine, du film de poursuite sauvage. Du lapin chef de gang tyrannique à l’aigle forcé d’être végétarien, le bestiaire proposé permet toutes les audaces. Croyez-nous : elles dépassent l’imagination.


Comme des bêtes 2 : Royal Canin [Critique]