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 La presse cinéma s’est régulièrement fait l’écho des problèmes que rencontrait Pierre Etaix pour retrouver la propriété de ses films, suite à un inextricable imbroglio juridique autour de la société à laquelle il les avait malencontreusement confiés. Le réalisateur de Yoyo et Le Soupirant a remporté une première victoire en ayant recouvré après décision du Tribunal de Grande Instance, les droits de cinq de ses œuvres. On espère qu’un mécène pourra maintenant apparaître pour financer leur probable restauration, afin que les merveilles inconnues de la jeune génération, faute d’avoir pu circuler depuis des dizaines d’années, puissent enfin réapparaître.