Toutes les critiques de La Fabuleuse Gilly Hopkins

Les critiques de Première

  1. Première
    par Christophe Narbonne

    La craquante petite québécoise Sophie Nélisse (La Voleuse de livres) interprète une orpheline rebelle trimballée de foyer en foyer jusqu’à son arrivée chez l’originale Maime Trotter, interprétée par la débonnaire Kathy Bates. Bons sentiments, scènes d’apprivoisement progressif vues mille fois et seconds rôles gentiment loufoques sont au programme de ce conte de fées moderne un peu balourd. On lui sait néanmoins gré de ne pas trop verser dans l’opposition pauvres/riches que lui réservait un rebondissement attendu, développé avec le minimum de subtilité requis par Stephen Herek, qui parvient même de justesse à faire affleurer l’émotion. 

Les critiques de la Presse

  1. Direct Matin
    par La rédaction de Direct Matin

    (...) cette comédie familiale traite avec optimisme et humour de la primauté des liens du cœur sur ceux du sang.

  2. Le Monde
    par Noémie Luciani

    (...) le réalisateur trouve en Sophie Nélisse et la merveilleuse Kathy Bates un duo de tête tout à fait réussi, mais peine sur la longueur à arracher son histoire à une écriture et une mise en scène proprettes, sans grand élan.
     

  3. Metronews
    par Mehdi Omaïs

    Si La Fabuleuse Gilly Hopkins ne révolutionne en rien le film d’ados, il confirme le talent manifeste de Sophie Nélisse, convaincante sous les traits d’une héroïne qui, abandonnée par sa mère, enquille les foyers d’accueil

  4. Le JDD
    par Baptiste Thion

    A défaut d’être originale, cette comédie adaptée du roman de Katherine Paterson s’avère sympathique, pleine de bons sentiments et compte des personnages attachants.

  5. Télérama
    par Cécile Mury

    Dans le rôle de la pseudo-peste transfigurée, la jeune ­Sophie Nélisse s'en sort très bien : avec son minois volontaire et ses yeux vifs, elle parvient même à mettre un peu de piment dans tout ce sucre. C'est dire. 

  6. La Croix
    par Emmanuelle Lucas

    Pourtant, sans doute parce qu’elle est trop littérale, cette adaptation manque de souffle et, martèle de façon trop appuyée une morale pétrie de simplisme.