Toutes les critiques de Turf

Les critiques de la Presse

  1. Les Fiches du cinéma
    par Nicolas Marcadé

    Tentant une nouvelle fois de traiter un sujet de comédie sociale anglaise sur le mode du gros cinéma populaire, Onteniente trouve un petit équilibre et signe une comédie sans éclat, mais honnête et tenue.

  2. StudioCiné Live
    par Iris Mazzacurati

    Un film laborieux sauvé par le talent de ses comédiens.

  3. Télé 7 jours
    par Viviane PESCHEUX

    On était prêt à rire des déboires de ces parieurs incarnés par une brochette d’acteurs qu’on adore. Mais les dialogues manquent de pépites et les personnages, croqués à la va-vite, de truculence. Du coup, l’interprétation n’est pas au top. Reste quelques scènes de courses hippiques, Vahina Giocante, parfaite en cavalière mutique et Sergi Lopez, très drôle en dresseur ronchon.

  4. Gala
    par La rédaction de Gala

    Les acteurs ne ménagent pas leurs efforts et offre même quelques bons moments de comédie, sans jamais parvenir à lâcher tout à fait les chevaux.

  5. Le Monde
    par Thomas Sotinel

    Avec un scénario aussi convenu Turf sera sans doute diffusé à une heure de grande écoute sur une chaîne privée et les enfants de 2014 connaîtront le confortable ennui qui berçait leurs parents au temps de l'ORTF.

  6. Ecran Large
    par Patrick Antona

    C’est louable de rendre hommage au cinéma d’Yves Robert et de Gilles Grangier mais il aurait fallu un scénario plus solide et des persos plus consistants. Restent à se mettre sous la dent quelques bonnes compos de Baer et Chabat mais le bilan est maigre.

  7. Toutlecine.com
    par Camille Esnault

    Dans Turf, quatre potes, qui se sont connus dans un club amateur de foot, passionnés de courses équestres partagent un cheval en quatre en même temps que le lot de galères qui va avec. Bienvenue dans la France pastis, quinté et saucisson, bienvenue dans l’univers de Fabien Onteniente. (...) Si Camping vous a fait mourir de rire ou si Jet Set vous a fait rêver, Turf est pour vous.

  8. Oops
    par Arnaud Casanova

    Malgré le casting alléchant et en dépit de la contribution d'Alain Chabat au scénario, Turf patauge dans la gadoue du début à la fin. Pas drôle, mal filmé, farci d'apparitions de "guest-stars", ce navet plaira éventuellement aux abonnés du PMU. Et encore...

  9. Public
    par La rédaction de Public

    Tiens, un film avec Edouard Baer et Gérard Depardieu, comme c'est original ! Si la comédie franchouillarde et les castings vus et revus vous gonflent, passez votre chemin...

  10. Version Femina
    par Anne Michelet

    Pas de scénarion, pas d'humour pour cette histoire (...) Dommage pour nous et pour les acteurs qui ont misé sur le mauvais cheval.

  11. par Ariane Valadié

Cette comédie ne casse pas trois pattes à un canasson.

  • Evene
    par Etienne Sorin

    Tout est moche dans Turf, de l’image à la brillance très nouveau riche à la vision de l’amitié d’une beauferie sans limite. Et rien n’est drôle dans cette comédie surgelée qui ferait presque préférer le cheval en lasagnes qu’en star de ciné. Quitte à pondre un slogan débile, le distributeur aurait pu choisir quelque chose de moins approximatif que « 4 potes, 4 pattes, le jackpot » - on ne dit pas une patte mais une jambe pour un cheval. On propose celle-ci : « Turf, le film qui vous prend pour une truffe ! »

  • Le JDD
    par Danielle Attali

    Le réalisateur ne se prend pas la tête avec ce scénario cousu de fil blanc où les situations invraisemblables s'enchaînent sans surprise. C'est gros, ça se regarde sans réel ennui, et sans adhésion non plus. En dépit d'acteurs assez sympathiques à défaut d'être convaincants. Tout comme le cheval, langue pendante, tronche de tocard qui ressuscite en crack. Pas de quoi ruer dans les écuries. Turf, un film gentiment bourrin.

  • A nous Paris
    par Fabien Menguy

    Fabien Onteniente qui, après Jet Set, 3 Zéros ou Camping, s’attaque cette fois-ci au monde des chevaux, pour un résultat… dans le désordre. Parfois très lourd, parfois animé par les fulgurances d’Édouard Baer, d’Alain Chabat et de l’ex-Deschiens Philippe Duquesne… mais toujours avec de gros sabots.

  • Critikat.com
    par Louis Blanchot

    Avec ses récits sanglés et ses personnages sous camisole, la nullité du cinéma d’Onteniente réside en fait dans un entre-deux où le déficit d’invention ne cède en rien à l’omission du réel. Entre-deux aussi confortable que rentable. Duquel il n’a aucune raison de s’extraire. Et dans le gouffre duquel on lui souhaite de s’enfoncer.

  • Le Figaro
    par Jean-Luc Wachthausen

    Le scénario du nouveau film de Fabien Onteniente ne donne pas mal à la tête, les dialogues non plus. On reste dans le domaine du gag téléphoné, du rire forcé.

  • Libération
    par Eric Loret

    C’est peut-être ça, finalement, qu’on aime chez Onteniente, cette annulation sautillante et permanente du scénario, chaque scène démentant la précédente. Les personnages n’y sont pas les héros d’un faux destin exemplaire mais, dans la tradition farcesque, de pauvres corps bottés au cul par des situations aussi galvaniques que grotesques.

  • Le Canard Enchainé
    par La rédaction du canard enchaîné

    Un film très bourrin de Fabien Ontoniente. On achève bien les chevaux en lasagne surgelées. Et les acteurs ? En comédie sous vide.

  • Metro
    par Marilyne Letertre

    Fabien Ontoniente mise un fois de plus sur des stars "bankable" que sur une scénario digne de ce nom. Les gags tombent à plat, les acteurs sont à côté de la plaque et l'ensemble fleur bon l'ennui et le populisme.

  • A voir à lire
    par Frédéric Mignard

    Turf n’est pas seulement l’un des pires titres de film de 2013, cette comédie est également bien partie pour devenir l’un des pires rejetons cinématographiques de l’année...

  • Chronic'art
    par Jérôme Momcilovic

    Tableau sinistre, d'une détestable fainéantise, et dont l'opportunisme n'est que mieux révélé par la présence molle des fétiches popu d'Onteniente (ici une Fuego, là Charles Gérard). Qu'on puisse être tenté, au sortir de cette purge, de se dire qu'on regrette Frank Dubosc, donne une idée assez précise de son naufrage.

  • Nouvel Obs
    par Guillaume Loison

    Tout est bâclé ici, tellement sous-écrit que cette hallucinante désinvolture nappe le caractère sympathique initial de l’entreprise d’un cynisme pour le moins embarrassant.