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Dans ce programme réunissant ses deux moyens métrages, Yann Le Quellec impose un univers singulier, à mi-chemin du quotidien enchanté de Jacques Demy et de l’humour absurde de certaines comédies populaires françaises des 70’s. On y croise Bernard Hinault, le chanteur Christophe, Bernard Menez dans une élucubration champêtre, Serge Bozon et, surtout, l’incroyable Rosalba Torres Guerrero aux prises avec un étrange symptôme musical.
Toutes les critiques de Le quepa sur la Vilni !
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Yann Le Quellec fait souffler une brise rafraîchissante sur le cinéma, avec un Christophe prophétique et deux Bernard - Menez et Hinault - touchés par la grâce.
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Célébration anarchique des excès et des débordements du cinéma, le film avance ainsi sur une ligne de crête dissonante que Bernard Hinault et Christophe, en guest star, arpentent la tête dans les étoiles.
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Ceux qui apprécient le jeu décalé mais subtil de Bernard Menez adoreront l'atmosphère de « le Quepa sur la vilni », une échappée belle entre originaux de talent, aussi décoiffante que le vent qui souffle sur la garrigue.
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Le Quepa sur la Vilni séduit d’emblée par son casting de choc : deux Bernard, Ménez (également à l’affiche du beau Tonnerre de Guillaume Brac, qui aime aussi le vélo !) et Hinault et le mythique Christophe. Nous vous laissons la surprise : le film est un vrai régal.
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Yann Le Quellec réinvente un cinéma en liberté, poétique et fantasque, à la façon des années 60.
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Bernard Ménez en facteur retraité remonte sur son vélo pour promouvoir l'ouverture d'un cinéma dans un village de l'Aude. 36 minutes de fantaisie par le réalisateur de Je sens le beat qui monte en moi.
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Libre et relâché, porteur d’un humour léger et vierge de tout cynisme, Le Quepa… fleure cependant trop la roziero-moulleterie inaboutie pour convaincre totalement.
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A l’image de "La Fille du 14 juillet" d’Antonin Peretjatko, il y a dans "Le Quepa sur la Vilni !" un amusement permanent, une cocasserie parfois usante, un esprit à la Benny Hill, dû aux méandres à deux roues des héros comme aux pedigrees popus de ses interprètes.
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Un court-métrage insolite mais pas déplaisant.
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Ce moyen métrage de Yann Le Quellec exploite la veine comico-absurde qui faisait le piquant du précédent (« Je sens le beat qui monte en moi », qui ressort en même temps). Du Jacques Rozier sous acide.
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Au nom du sacro-saint non-sens, le film délaisse timing et précision des g