Toutes les critiques de Fou d'amour

Les critiques de Première

  1. Première
    par Eric Vernay

    C’est le journal d’un curé de campagne qui a perdu la tête, littéralement. Guillotiné pour un double meurtre. Mais qu’est-ce qui a donc pu mener ce jeune gars plein d’intelligence et d’énergie, amateur de théâtre, de football et de moto, à cette fin sordide ? Guidé par la séduisante voix off du funeste prêtre, le film de Philippe Ramos nous convie dans la tête d’un homme de Dieu qui se prend pour un homme-Dieu. Légère au début, puis inquiétante, cette descente aux enfers inspirée de faits réels tient parfaitement sa note tragi-comique, entre béatitude hédoniste et perversité hitchcockienne. Elle doit beaucoup à Melvil Poupaud, divin dans ce rôle de satyre en soutane au charme diabolique.

Les critiques de la Presse

  1. Télérama
    par Jacques Morice

    (...) la mise en scène est fluide, inventive, très composée, entre roman-photo et peinture, religieuse ou iconoclaste (un plan fugitif rappelle ces vanités à la pornographie macabre de Cindy Sherman). On a rarement vu célébré à l'écran ce mariage de l'érotisme et de la mystique.

  2. Les Inrocks
    par Serge Kaganski

    C’est gonflé, macabre et drôle – le film est grivois, drolatique mais toujours soigneusement filmé, et très élégamment écrit.

  3. Télérama
    par Serge Kaganski

    C’est gonflé, macabre et drôle – le film est grivois, drolatique mais toujours soigneusement filmé, et très élégamment écrit.

  4. Critikat.com
    par Morgan Pokée

    Démarrant ainsi sur des airs de comédie champêtre à la morale débridée, le film de Ramos trouve tout naturellement un rythme de croisière fluide et inattendu par rapport à ses précédents films où une sécheresse narrative s’accommodait ingénieusement de ruptures de tons intempestives.

  5. Critikat.com
    par Morgan Pokée

    Démarrant ainsi sur des airs de comédie champêtre à la morale débridée, le film de Ramos trouve tout naturellement un rythme de croisière fluide et inattendu par rapport à ses précédents films où une sécheresse narrative s’accommodait ingénieusement de ruptures de tons intempestives 

  6. Télérama
    par Jacques Morice

    (...) la mise en scène est fluide, inventive, très composée, entre roman-photo et peinture, religieuse ou iconoclaste (un plan fugitif rappelle ces vanités à la pornographie macabre de Cindy Sherman). On a rarement vu célébré à l'écran ce mariage de l'érotisme et de la mystique. 

  7. StudioCiné Live
    par Thierry Chèze

    Après une heure d’irrévérence légère, la tragédie pire sied hélas moins à Philippe Ramos.

  8. Le Monde
    par Jacques Mandelbaum

    Fidèle à la distanciation stylistique et à l’humour décalé qui est la marque de son œuvre, Philippe Ramos passe ici légèrement à côté de la monstruosité de l’événement.

  9. Le Monde
    par Jacques Mandelbaum

    Fidèle à la distanciation stylistique et à l’humour décalé qui est la marque de son œuvre, Philippe Ramos passe ici légèrement à côté de la monstruosité de l’événement. 

     

  10. A voir à lire
    par Frédéric Guez

    "Fou d’amour" est un film ambitieux, drôle, certes un brin bancal, mais qu’il faut aller voir.

  11. A voir à lire
    par Frédéric Guez

     Fou d’amour est un film ambitieux, drôle, certes un brin bancal, mais qu’il faut aller voir

  12. Nouvel Obs
    par La rédaction de Nouvel Obs

    Macabre, mais aussi étonnamment joyeux et libre, plein de vie et d'humour sans cesser d'être noir, et bientôt épouvantable.

  13. StudioCiné Live
    par Thierry Chèze

    Après une heure d’irrévérence légère, la tragédie pire sied hélas moins à Philippe Ramos. 

  14. Nouvel Obs
    par La rédaction du Nouvel Obs

    Macabre, mais aussi étonnamment joyeux et libre, plein de vie et d'humour sans cesser d'être noir, et bientôt épouvantable.

  15. Télérama
    par Pierre Murat

    Direction d'acteurs maladroite, mise en scène insignifiante à force de vouloir ne pas l'être. Du cinéma totalement ankylosé.

  16. Télérama
    par Pierre Murat

    Direction d'acteurs maladroite, mise en scène insignifiante à force de vouloir ne pas l'être. Du cinéma totalement ankylosé.