Toutes les critiques de Fever

Les critiques de Première

  1. Première
    par Damien Leblanc

    Deux lycéens parisiens assassinent une femme choisie au hasard dans la rue pour étayer leur théorie sur l’impunité des meurtres commis de façon arbitraire. Mais leur bonne conscience va être troublée par la découverte de l’histoire du XXe siècle, qui rend leur acte bien moins anodin qu’ils ne le croyaient. Adapté du roman éponyme de Leslie Kaplan, ce premier long métrage mélange les tonalités afin d’aérer sa réflexion sur la "banalité du mal" analysée par Hannah Arendt. L’écriture, audacieuse, vise ainsi une intermittente légèreté, mais la réalisation trop éthérée de ce thriller philosophique rend les corps et les esprits étrangement absents.

  2. Première
    par Damien Leblanc

    Deux lycéens parisiens assassinent une femme choisie au hasard dans la rue pour étayer leur théorie sur l’impunité des meurtres commis de façon arbitraire. Mais leur bonne conscience va être troublée par la découverte de l’histoire du XXe siècle, qui rend leur acte bien moins anodin qu’ils ne le croyaient. Adapté du roman éponyme de Leslie Kaplan, ce premier long métrage mélange les tonalités afin d’aérer sa réflexion sur la "banalité du mal" analysée par Hannah Arendt. L’écriture, audacieuse, vise ainsi une intermittente légèreté, mais la réalisation trop éthérée de ce thriller philosophique rend les corps et les esprits étrangement absents. 

Les critiques de la Presse

  1. Critikat.com
    par Clément Graminiès

    Fever est plutôt de ces secrets qu’on tapit au fond de soi par instinct de survie.

  2. Le Figaro
    par Nathalie Simon

    (...) un premier film brillant sur le mal et la culpabilité

  3. Critikat.com
    par Clément Graminiès

    "Fever" est plutôt de ces secrets qu’on tapit au fond de soi par instinct de survie.

  4. Le Figaro
    par Nathalie Simon

    (...) un premier film brillant sur le mal et la culpabilité.

  5. StudioCiné Live
    par Thierry Chèze

    Ce premier long (...) manque de souffle scénaristique mais révèle un créateur d'atmosphère angoissante à suivre.

  6. Rolling Stone
    par La rédaction de Rolling Stone

    Un film à l’ambiance malsaine et glauque, où les deux jeunes acteurs principaux sont de véritables révélations.

  7. Les Inrocks
    par Jacky Goldberg

    Le jeune cinéaste instaure ainsi une atmosphère alternativement pesante (du poids de la culpabilité) et légère, aussi légère que les volutes vocales de la chanteuse Camille qui reprend le tube de Peggy Lee donnant son nom à ce film très recommandable.

  8. Le Monde
    par Isabelle Regnier

    (...) ce premier long-métrage offre quelques moment gracieux, qui ne suffisent pas à dissiper l'opacité de son propos .

  9. A voir à lire
    par Frédéric Mignard

    Avec un certain talent formel, Raphaël Neal réussit son pari d’interroger, à défaut de passionner.

  10. Rolling Stone
    par La rédaction de Rolling Stone

    Un film à l’ambiance malsaine et glauque, où les deux jeunes acteurs principaux sont de véritables révélations.

  11. StudioCiné Live
    par Thierry Chèze

    Ce premier long (...) manque de souffle scénaristique mais révèle un créateur d'atmosphère angoissante à suivre.

  12. Les Inrocks
    par Jacky Goldberg

    Le jeune cinéaste instaure ainsi une atmosphère alternativement pesante (du poids de la culpabilité) et légère, aussi légère que les volutes vocales de la chanteuse Camille qui reprend le tube de Peggy Lee donnant son nom à ce film très recommandable.

  13. Le Monde
    par Isabelle Regnier

    (...) ce premier long-métrage offre quelques moment gracieux, qui ne suffisent pas à dissiper l'opacité de son propos .

  14. A voir à lire
    par Frédéric Mignard

    Avec un certain talent formel, Raphaël Neal réussit son pari d’interroger, à défaut de passionner.

  15. Télérama
    par Pierre Murat

    On n'éprouve aucun effroi devant le mal qui se répète : pas la moindre réflexion sur sa banalité, les excès qu'il provoque et les tristes oublis qu'il suscite.

  16. Libération
    par Didier Péron

    (...) ici domine un sentiment de totale artificialité des personnages (qu’on a un peu envie de gifler) et des enjeux (réduits à un jeu de société poseur et antidaté).

  17. Télérama
    par Pierre Murat

    On n'éprouve aucun effroi devant le mal qui se répète : pas la moindre réflexion sur sa banalité, les excès qu'il provoque et les tristes oublis qu'il suscite. 

  18. Libération
    par Didier Péron

    (...) ici domine un sentiment de totale artificialité des personnages (qu’on a un peu envie de gifler) et des enjeux (réduits à un jeu de société poseur et antidaté).