Toutes les critiques de Et si on vivait tous ensemble ?

Les critiques de la Presse

  1. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    Pied de nez au jeunisme actuel, cette comédie tendre aborde des sujets tabous comme la dépendance et la sexualité du troisième âge.

  2. Le Figaro
    par Emmanuele Frois

    C'est à la fois grave et joyeux. La vie comme elle est, non ?

  3. Le Figaro
    par Marie-Noëlle Tranchant

    Jane Fonda, Guy Bedos, Claud Rich et Géraldine Chaplin forment une sacrée bande bourrée d'énergie et de vie; On y va rien que pour eux !

  4. Les Inrocks
    par Léo Soesanto

    Une comédie un peu boiteuse, mais avec de beaux moments d'acteurs.

  5. par Jérémie Couston

Un film choral dont la mise en scène - modeste ou passe-partout, selon le degré de bienveillance - s'efface au profit d'une troupe de grands cabotins à carte Vermeil : la divine Jane Fonda, donc, mais aussi Geraldine Chaplin, Guy Bedos, Claude Rich et Pierre Richard. Les voir (bien ou mal) vieillir et, pour certains, mourir sous nos yeux, ravive les souvenirs de leur gloire passée non sans un pincement au coeur.

  • par La redaction du Monde
  • L'étonnante distribution (...) et une propension à l(humour macabre battent en brèche la tendance sentimentale et l'humour facile du scénario.

  • Le JDD
    par Jean-Pierre Lacomme

    Même si le film de Stéphane Robelin a le courage d'affronter certains sujets liés aux seniors - dépendance, maladie, sexualité, entre autre - sur un ton plutôt léger et volontariste, son rythme un peu plat et certaines scènes convenues affaiblissent son propos.

  • Nouvel Obs
    par Philippe Jambet

    Des amis septuagénaires décident de cohabiter, histoire d’éviter à l’un d’entre eux d’aller dans une maison de retraite. On aurait aimé se passionner pour les tribulations de ces gentils vieux marqués au fer rouge par Mai 68. D’autant que chacun des comédiens (Bedos, Richard, Fonda, Rich, Geraldine Chaplin – 377 ans à eux cinq !) traîne derrière lui de beaux moments de cinéma. Mais là où leur formidable envie de bouffer encore un peu la vie aurait dû donner du souffle à la mise en scène, c’est plutôt l’arthrose qui guette avec un rythme digne d’un épisode de Louis la Brocante

  • par Xavier Leherpeur
  • Si le cinéma se résumait à une plaisante idée de scénario, quelques répliques malignes et de merveilleux comédiens (...) le film de Stéphane Robelin serait peut-être réussit. Mais il existe ce que l'on appelle la mise en scène (...) et son absence (...) finit par aplanir les meilleures intentions.

  • Nouvel Obs
    par Xavier Leherpeur

    Une comédie utopique et mélancolique dont le charme volatile repose exclusivement sur l'excellent casting.