Belle Comme la Femme d'un Autre

un sujet déjà vu au cinéma qui nous laisse comparer inévitablement avec ce que l'on connait déjà. Une comédie légère avec cependant de l'humour qui sait nous surprendre avec une fin inattendue. À regarder entre amis après le travail pour se détendre.

Sorte d’Arnacoeur au féminin, le second film de la réalisatrice de 48 heures par jour déroule toutes les ficelles du genre. Les situations sont convenues mais l’ensemble est suffisamment bien écrit pour
qu’on y trouve du plaisir d’autant que les trois comédiens principaux sont à la fête.

Il y a des comédies qui voyagent léger avec paquetage commando. C'est le cas du second long-métrage de la réalisatrice de «48 heures par jour». S'il ne révolutionne pas le genre, il se laisse voir avec grand plaisir. Zabou et Audrey Fleurot sont très joliment filmées.

Quoique caricaturale, cette comédie aux dialogues percutants sur la peur de l’engagement est divertissante. On craque pour Zabou Breitman qu’on retrouve enfin dans un rôle comique.

Une comédie romantique qui lorgne confusément du côté de “L'Arnacœur”, en beaucoup moins sexy et surtout moins drôle. Un film raté, mais une jolie publicité pour La Réunion...

Seul le titre est joli, le reste -scénario, dialogues, réalisation reste de l'amateurisme.

Dans "L'Arnacoeur", de Pascal Chaumeil, un homme mettait à l'épreuve la fidélité des couples. Ici, le scénario est quasi identique, sauf que Romain Duris a été remplacé par Audrey Fleurot, et que l'intrigue a été délocalisée à La Réunion. La copie n'a pas le charme du ­modèle.

Vaudeville improbable, au scénario indigent, achevé par un casting inopportun, une énième comédie française qui fait un peu plus de mal à l’industrie nationale...