Toutes les critiques de Azor

Les critiques de Première

  1. Première
    par Thierry Chèze

    Ce premier long met en scène un banquier genevois qui, après la disparition mystérieuse de son associé, part dans une Argentine en pleine dictature le remplacer auprès de ses contacts. Le film épouse l’obsession du secret qui lie ses protagonistes mais si on se laisse embarquer par son atmosphère intrigante et feutrée, il se trouve peu à peu abîmé par une cérébralité mal domptée et un sentiment d’artificialité qui rend sa dernière ligne frustrante.