Toutes les critiques de American Translation

Les critiques de Première

  1. Première
    par Stéphanie Lamôme

    Avec ce qui fait leur marque de fabrique depuis leurs débuts, Jean-Marc Barr et Pascal Arnold ont réalisé un film d'ados comme des ados. Respect pour les jeunes Lizzie Brocheré et Pierre Perrier : malgré des personnages risibles qui s'appellent "baby" et ne prononcent que des phrases définitives, ils y croient jusqu'au bout.

Les critiques de la Presse

  1. Paris Match
    par Alain Spira

    Si les comédiens sont remarquables, le charisme un peu fou de Pierre Perrier est pour beaucoup dans la réussite de ce film d’auteur percutant et dérangeant.

  2. Nouvel Obs
    par Xavier Leherpeur

    Jean-Marc Barr et Pascal Arnold filment l'histoire d'amour entre une fille de bonne famille et un jeune assassin. Physique et intense, American Translation s'en sort avec les honneurs.

  3. StudioCiné Live
    par Laurent Djian

    Lascives ou bestiales, les scènes de cul donnent toute son excitante saveur à cette cavalcade amoureuse (...) Là où ce Bonnie and Clyde d'aujourd'hui pèche, c'est quand il théorise sur Eros et Thanatos, la souffrance et la jouissance.

  4. Le Figaro
    par Isabelle Fragette

    Variation malsaine sur le thème de la groupie du tueur en série, American Translation rappelle - sans les égaler, loin s'en faut- Badlands de Terrence Malick ou Tueurs nés d'Oliver Stone."

  5. A voir à lire
    par Frédéric Mignard

    un nouveau conte de jeunesse, qui trouve ses marques dans la chair et le sang. Interdit aux moins de 16 ans en raison de la crudité de ses scènes torrides, cette variation autour d’Eros et Thanatos, un tueur et la femme qu’il aime

  6. Le Monde
    par Jacques Mandelbaum

    Il en résulte un film d'une laideur consommée et d'une inconséquence morale navrante, qui semble vouloir davantage choquer à bon compte le chaland que traiter son sujet à la hauteur qu'il requiert

  7. Télérama
    par Jacques Morice

    Faute de carburant scénaristique, le film s’épuise à marier Eros et Thanatos. Le « fabriqué » prend alors le dessus sur le naturel.