La première de Dune 2 se tenait hier à Paris, et les premiers avis sont tombés

Les stars du film, dont Timothée Chalamet et Zendya, et le réalisateur Denis Villeneuve étaient présents.

A deux semaines de la sortie française de Dune : deuxième partie, le 28 février, la promo du blockbuster le plus attendu de l’année atteint son paroxysme. Après Mexico la semaine dernière, c’est Paris qui accueillait ce lundi 12 février l’avant-première du film au Grand Rex, trois jours avant Londres.

Toutes les stars n’étaient pas présentes, mais il y avait quand même du beau monde, avec Timothée Chalamet, Zendaya, Austin Butler, Rebecca Ferguson, Josh Brolin, Léa Seydoux, Stellan Skarsgard et Souheila Yacoub. Sans oublier le cinéaste Denis Villeneuve, accompagné de son épouse la réalisatrice Tanya Lapointe.

L’ambiance était détendue sur le tapis rouge, où les fans ont pu constater la complicité et la disponibilité du casting qui a pris le temps de signer des autographes.

Denis Villeneuve est monté sur scène pour recevoir l’ovation des spectateurs et adresser ses remerciements au public ("vous avez été très patients et patientes, ça me touche beaucoup"), mais aussi à sa soeur, qui était en charge de la gestion du Covid sur le tournage de Dune 2, ainsi que le dramaturge Wajdi Mouawad, présent dans la salle, dont Villeneuve a adapté la pièce Incendies au cinéma.

Cette première française a aussi coïncidé avec la levée de l’embargo pour les réseaux sociaux. Les premiers avis sont tombés, et ils sont dithyrambiques pour ce Dune : deuxième partie.

"On ressort soufflés par le grandiose et l'épique du film (…) Des blockbusters comme ça je veux en manger tous les jours"

"Plus grand, plus épique, plus intime… Denis Villeneuve nous livre un second opus qui élève la saga DUNE au rang des meilleurs blockbuster modernes sci-fi"

"Les promesses de Denis Villeneuve ont été tenues (...) Les enjeux sont bien plus élevés que le premier film. C'est une expérience à vivre au cinéma, quelle claque pendant 2h40"

"Ce film se tient la tête et les épaules au-dessus de 95% de la production Hollywoodienne (…) Denis, merci"