Twilight, chapitre 4 : révélation, 1re partie

Le film baigne dans le fleur bleue avec la lune de miel et son point culminant, l'explosive nuit de noces! Pour le reste la grossesse de Bella, et surtout son accouchement son traités de façon beaucoup plus soft que dans le livre de Stephenie Meyer (...) après le décevant chapitre 3, la saga reprend des couleurs avec la naissance du bébé du couple mythique.

Le film baigne dans le fleur bleue avec la lune de miel et son point culminant, l'explosive nuit de noces! Pour le reste la grossesse de Bella, et surtout son accouchement son traités de façon beaucoup plus soft que dans le livre de Stephenie Meyer (...) après le décevant chapitre 3, la saga reprend des couleurs avec la naissance du bébé du couple mythique.

Après trois films fleur bleue, voilà enfin du sang neuf dans cette première partie du chapitre final de l'oeuvre de Stephenie Meyer (...) Bill Condon a pris quelques libertés dans les dialogues en injectant un peu d'humour. Passé le début gnangnan, son film s'aventure vers l'horreur, de quoi faire frissonner un public ados hyper "à crocs".

Après trois films fleur bleue, voilà enfin du sang neuf dans cette première partie du chapitre final de l'oeuvre de Stephenie Meyer (...) Bill Condon a pris quelques libertés dans les dialogues en injectant un peu d'humour. Passé le début gnangnan, son film s'aventure vers l'horreur, de quoi faire frissonner un public ados hyper "à crocs".

L'action est à la barre et le souffle de l'épopée relègue un peu en fond de cale le prêchi-prêcha religieux. Une interrogation, toutefois : les fans de la première heure n'ont-ils pas passé l'âge ?

(...) Bon sang, ces deux-là sont si beaux qu’on les regarderait jouer au Scrabble.

(...) Bon sang, ces deux-là sont si beaux qu’on les regarderait jouer au Scrabble.

Avec son univers artificiellement crépusculaire, Twilight ne propose que des vampires de pacotille (...). Outre les entorses faites à la mythologie vampirique, on reste perplexe devant ce mélange de bizarrerie et de conformisme. Heureusement, il ne reste plus qu'un épisode...

Avec son univers artificiellement crépusculaire, Twilight ne propose que des vampires de pacotille (...). Outre les entorses faites à la mythologie vampirique, on reste perplexe devant ce mélange de bizarrerie et de conformisme. Heureusement, il ne reste plus qu'un épisode...

Côté performance, aucune surprise bonne ni mauvaise. Les acteurs n'avaient rien de bien stimulant à se mettre sous la dent. Cela pourrait changer dans la deuxième partie de Révélation (...).

Le dénouement est proche mais l’intrigue piétine. La saga laisse la romance prendre le dessus, avec progéniture monstrueuse à la clé. Pas très convaincant.

Le dénouement est proche mais l’intrigue piétine. La saga laisse la romance prendre le dessus, avec progéniture monstrueuse à la clé. Pas très convaincant.

L’union de la vierge constipée et du vampire neurasthénique mais également une grossesse à haut risque et une rivalité exacerbée entre Jacob et Edward nourrissent chichement ce demi-dernier épisode de la saga.
Saluons l’exploit des scénaristes et du metteur en scène qui parviennent à étirer cette dramaturgie rachitique sur près de deux heures à coups de ralentis pesants et de dialogues inutiles.

L’union de la vierge constipée et du vampire neurasthénique mais également une grossesse à haut risque et une rivalité exacerbée entre Jacob et Edward nourrissent chichement ce demi-dernier épisode de la saga.

Saluons l’exploit des scénaristes et du metteur en scène qui parviennent à étirer cette dramaturgie rachitique sur près de deux heures à coups de ralentis pesants et de dialogues inutiles.