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Carl Jones, un ancien employé travaillant sur Dr. House, accuse les producteurs d’homophobie, d’usage de drogue et de relations sexuelles en coulisses.

Carl Jones, un ancien employé travaillant sur Dr. House, accuse les producteurs d’homophobie, d’usage de drogue et de relations sexuelles en coulisses.Rien ne va plus chez le Dr. House. Selon le site Examiner, un ancien employé de la série a déposé plainte devant la Cour Supérieure de Californie, accusant les producteurs de l’avoir renvoyé pour ne pas avoir voulu participer à la "conduite dégénérée" qui se tramerait en coulisses.Carl Jones prétend ainsi avoir été harcelé par deux de ses supérieurs pour avoir refusé de "visiter des bars à strip-tease, se saouler, se droguer et prendre de la cocaïne, se livrer à des activités sexuelles dans les caravanes et d’autres conduites dangereuses". De plus, selon Jones, les producteurs parlent souvent de leurs employés en utilisant les mots "pédés, putes, salopes, esclaves, crétins, retardés mentaux et idiots".Parmi les comportements abusifs auxquels Jones fait allusion, un producteur aurait amené à plusieurs reprises un revolver sur le plateau, buvant à en devenir saoul et "jetant un couteau sur une cible".Carl Jones prétend avoir essayé de dénoncer de tels comportements à un des producteurs exécutifs, mais ce-dernier l’aurait débouté de sa demande et Jones aurait par la suite fait l’objet de chantage. L’employé aurait alors souffert de dépression et aurait même été physiquement blessé par certains des incidents en plateau. Il demande ainsi plus d’un million de dollars de dommages et intérêts.Les studios Universal, qui produisent Dr. House, n’ont pas souhaité commenter cette poursuite judiciaire.