Quand on devient fan de quelque chose, on a vite fait de virer au traumatisme obsessionnel si on ne fait pas attention. Sauf que quand la lubie d'un groupe de rock ou d'un acteur de série télé vous pousse à passer sous l'aiguille d'un tatoueur, vous n'avez plus qu'à prier pour deux choses : que votre dévotion ne s'effrite pas avec le temps, et surtout, que le type qui vous encore la peau ait un tant soit peu de talent. Les exemples que Flu vous a déniché ne sont pas tous probants en terme de bon goût, mais ont au moins le mérite d'être drôles.
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