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PHOTOS - Martin Scorsese : découvrez les 10 posters qui l'ont fait rêver

Spitfire, 1934

<strong>Martin Scorsese</strong> a accepté de mettre en avant 10 affiches de film pour le magazine GQ. Minutieusement choisies, elles évoquent toutes pour le réalisateur une histoire ou un souvenir. Toutes les affiches choisies datent du début du XXème siècle, entre 1916 et 1956, puisqu'elles sont recueillies dans un ouvrage dédié aux posters du cinéma classique hollywoodien : <em>Startruck : Vintage movie posters from classic Hollywood</em>. Elles représentent bien plus qu'un simple élément de promotion, comme l'explique le cinéaste dans l'article. Pour lui, quelques affiches ont su éveiller son imagination. Une image ou une accroche pouvaient l'emmener vers un monde inconnu : celui du film. Ou plutôt, celui qu'il s'imaginait être l'univers du film, avant de découvrir une histoire totalement différente que celle qu'il avait en tête une fois devant l'écran. C'est là toute la magie d'un poster, qui permet, via quelques éléments, de donner des indices sur le long-métrage qui nous est présenté, tout en gardant secrète l'intrigue principale. Et donc de nous faire rêver... <strong>Martin Scorsese</strong> parle de "mystère et de romance" en évoquant ces affiches qui ont marqué son esprit.Gilda, par exemple, qui trône en tête de son classement, est bien plus qu'une image annonçant un film. Pour Scorsese, c'est l'image d'une femme inaccessible, d'une déesse, qui semble flotter sur un nuage. Les couleurs et la pose de <strong>Rita Hayworth</strong> suggèrent un monde de voluptés, une "vie enchantée", selon le réalisateur. Le poster de Giant, qui contribua à élever <strong>James Dean</strong> en icône d'une génération, assis et détendu contre un wagon, sous un ciel immense, a également marqué le réalisateur par sa puissance à rappeler (ou à imaginer ?) quelle était la vie des années 50. Le cinéaste insiste aussi sur le design de chaque époque. Tous ces posters sont ancrés dans leur temps. Pour un amateur de cinéma classique, il est facile de dater le film au premier coup d'oeil. Un constat qui ajoute de la grâce et de la beauté à ces oeuvres, selon Scorsese, qui considère que les affiches de l'époque avaient atteint leur plus haut niveau artistique. Il parle même de "langage des affiches", à propos des multiples sens que l'on peut y découvrir. Il se dit passionné par l'art des posters de film, tout comme Ira Resnick, la personne qui a collectionné toutes les affiches réunies dans le livre Startruck, et espère que ce top 10 sera un premier pas pour passionner d'autres cinéphiles. Plus d'infos sur <strong>Martin Scorsese</strong> : <strong>EXCLU INTERVIEW : <strong>Martin Scorsese</strong> revient sur son travail d'adaptation de Shutter Island </strong> <strong> PHOTOS ? Shutter Island : sur le tournage, avec <strong>Martin Scorsese</strong> et <strong>Leonardo DiCaprio</strong>. </strong> <strong> VIDEOS ? <strong>Martin Scorsese</strong> : regardez-le diriger <strong>Leonardo DiCaprio</strong> sur le tournage de Shutter Island. </strong>

Bringing up Baby, 1938

<strong>Martin Scorsese</strong> a accepté de mettre en avant 10 affiches de film pour le magazine GQ. Minutieusement choisies, elles évoquent toutes pour le réalisateur une histoire ou un souvenir. Toutes les affiches choisies datent du début du XXème siècle, entre 1916 et 1956, puisqu'elles sont recueillies dans un ouvrage dédié aux posters du cinéma classique hollywoodien : <em>Startruck : Vintage movie posters from classic Hollywood</em>. Elles représentent bien plus qu'un simple élément de promotion, comme l'explique le cinéaste dans l'article. Pour lui, quelques affiches ont su éveiller son imagination. Une image ou une accroche pouvaient l'emmener vers un monde inconnu : celui du film. Ou plutôt, celui qu'il s'imaginait être l'univers du film, avant de découvrir une histoire totalement différente que celle qu'il avait en tête une fois devant l'écran. C'est là toute la magie d'un poster, qui permet, via quelques éléments, de donner des indices sur le long-métrage qui nous est présenté, tout en gardant secrète l'intrigue principale. Et donc de nous faire rêver... <strong>Martin Scorsese</strong> parle de "mystère et de romance" en évoquant ces affiches qui ont marqué son esprit.Gilda, par exemple, qui trône en tête de son classement, est bien plus qu'une image annonçant un film. Pour Scorsese, c'est l'image d'une femme inaccessible, d'une déesse, qui semble flotter sur un nuage. Les couleurs et la pose de <strong>Rita Hayworth</strong> suggèrent un monde de voluptés, une "vie enchantée", selon le réalisateur. Le poster de Giant, qui contribua à élever <strong>James Dean</strong> en icône d'une génération, assis et détendu contre un wagon, sous un ciel immense, a également marqué le réalisateur par sa puissance à rappeler (ou à imaginer ?) quelle était la vie des années 50. Le cinéaste insiste aussi sur le design de chaque époque. Tous ces posters sont ancrés dans leur temps. Pour un amateur de cinéma classique, il est facile de dater le film au premier coup d'oeil. Un constat qui ajoute de la grâce et de la beauté à ces oeuvres, selon Scorsese, qui considère que les affiches de l'époque avaient atteint leur plus haut niveau artistique. Il parle même de "langage des affiches", à propos des multiples sens que l'on peut y découvrir. Il se dit passionné par l'art des posters de film, tout comme Ira Resnick, la personne qui a collectionné toutes les affiches réunies dans le livre Startruck, et espère que ce top 10 sera un premier pas pour passionner d'autres cinéphiles. Plus d'infos sur <strong>Martin Scorsese</strong> : <strong>EXCLU INTERVIEW : <strong>Martin Scorsese</strong> revient sur son travail d'adaptation de Shutter Island </strong> <strong> PHOTOS ? Shutter Island : sur le tournage, avec <strong>Martin Scorsese</strong> et <strong>Leonardo DiCaprio</strong>. </strong> <strong> VIDEOS ? <strong>Martin Scorsese</strong> : regardez-le diriger <strong>Leonardo DiCaprio</strong> sur le tournage de Shutter Island. </strong>

Gilda, 1946

<strong>Martin Scorsese</strong> a accepté de mettre en avant 10 affiches de film pour le magazine GQ. Minutieusement choisies, elles évoquent toutes pour le réalisateur une histoire ou un souvenir. Toutes les affiches choisies datent du début du XXème siècle, entre 1916 et 1956, puisqu'elles sont recueillies dans un ouvrage dédié aux posters du cinéma classique hollywoodien : <em>Startruck : Vintage movie posters from classic Hollywood</em>. Elles représentent bien plus qu'un simple élément de promotion, comme l'explique le cinéaste dans l'article. Pour lui, quelques affiches ont su éveiller son imagination. Une image ou une accroche pouvaient l'emmener vers un monde inconnu : celui du film. Ou plutôt, celui qu'il s'imaginait être l'univers du film, avant de découvrir une histoire totalement différente que celle qu'il avait en tête une fois devant l'écran. C'est là toute la magie d'un poster, qui permet, via quelques éléments, de donner des indices sur le long-métrage qui nous est présenté, tout en gardant secrète l'intrigue principale. Et donc de nous faire rêver... <strong>Martin Scorsese</strong> parle de "mystère et de romance" en évoquant ces affiches qui ont marqué son esprit.Gilda, par exemple, qui trône en tête de son classement, est bien plus qu'une image annonçant un film. Pour Scorsese, c'est l'image d'une femme inaccessible, d'une déesse, qui semble flotter sur un nuage. Les couleurs et la pose de <strong>Rita Hayworth</strong> suggèrent un monde de voluptés, une "vie enchantée", selon le réalisateur. Le poster de Giant, qui contribua à élever <strong>James Dean</strong> en icône d'une génération, assis et détendu contre un wagon, sous un ciel immense, a également marqué le réalisateur par sa puissance à rappeler (ou à imaginer ?) quelle était la vie des années 50. Le cinéaste insiste aussi sur le design de chaque époque. Tous ces posters sont ancrés dans leur temps. Pour un amateur de cinéma classique, il est facile de dater le film au premier coup d'oeil. Un constat qui ajoute de la grâce et de la beauté à ces oeuvres, selon Scorsese, qui considère que les affiches de l'époque avaient atteint leur plus haut niveau artistique. Il parle même de "langage des affiches", à propos des multiples sens que l'on peut y découvrir. Il se dit passionné par l'art des posters de film, tout comme Ira Resnick, la personne qui a collectionné toutes les affiches réunies dans le livre Startruck, et espère que ce top 10 sera un premier pas pour passionner d'autres cinéphiles. Plus d'infos sur <strong>Martin Scorsese</strong> : <strong>EXCLU INTERVIEW : <strong>Martin Scorsese</strong> revient sur son travail d'adaptation de Shutter Island </strong> <strong> PHOTOS ? Shutter Island : sur le tournage, avec <strong>Martin Scorsese</strong> et <strong>Leonardo DiCaprio</strong>. </strong> <strong> VIDEOS ? <strong>Martin Scorsese</strong> : regardez-le diriger <strong>Leonardo DiCaprio</strong> sur le tournage de Shutter Island. </strong>

Blind Husbands, 1919

<strong>Martin Scorsese</strong> a accepté de mettre en avant 10 affiches de film pour le magazine GQ. Minutieusement choisies, elles évoquent toutes pour le réalisateur une histoire ou un souvenir. Toutes les affiches choisies datent du début du XXème siècle, entre 1916 et 1956, puisqu'elles sont recueillies dans un ouvrage dédié aux posters du cinéma classique hollywoodien : <em>Startruck : Vintage movie posters from classic Hollywood</em>. Elles représentent bien plus qu'un simple élément de promotion, comme l'explique le cinéaste dans l'article. Pour lui, quelques affiches ont su éveiller son imagination. Une image ou une accroche pouvaient l'emmener vers un monde inconnu : celui du film. Ou plutôt, celui qu'il s'imaginait être l'univers du film, avant de découvrir une histoire totalement différente que celle qu'il avait en tête une fois devant l'écran. C'est là toute la magie d'un poster, qui permet, via quelques éléments, de donner des indices sur le long-métrage qui nous est présenté, tout en gardant secrète l'intrigue principale. Et donc de nous faire rêver... <strong>Martin Scorsese</strong> parle de "mystère et de romance" en évoquant ces affiches qui ont marqué son esprit.Gilda, par exemple, qui trône en tête de son classement, est bien plus qu'une image annonçant un film. Pour Scorsese, c'est l'image d'une femme inaccessible, d'une déesse, qui semble flotter sur un nuage. Les couleurs et la pose de <strong>Rita Hayworth</strong> suggèrent un monde de voluptés, une "vie enchantée", selon le réalisateur. Le poster de Giant, qui contribua à élever <strong>James Dean</strong> en icône d'une génération, assis et détendu contre un wagon, sous un ciel immense, a également marqué le réalisateur par sa puissance à rappeler (ou à imaginer ?) quelle était la vie des années 50. Le cinéaste insiste aussi sur le design de chaque époque. Tous ces posters sont ancrés dans leur temps. Pour un amateur de cinéma classique, il est facile de dater le film au premier coup d'oeil. Un constat qui ajoute de la grâce et de la beauté à ces oeuvres, selon Scorsese, qui considère que les affiches de l'époque avaient atteint leur plus haut niveau artistique. Il parle même de "langage des affiches", à propos des multiples sens que l'on peut y découvrir. Il se dit passionné par l'art des posters de film, tout comme Ira Resnick, la personne qui a collectionné toutes les affiches réunies dans le livre Startruck, et espère que ce top 10 sera un premier pas pour passionner d'autres cinéphiles. Plus d'infos sur <strong>Martin Scorsese</strong> : <strong>EXCLU INTERVIEW : <strong>Martin Scorsese</strong> revient sur son travail d'adaptation de Shutter Island </strong> <strong> PHOTOS ? Shutter Island : sur le tournage, avec <strong>Martin Scorsese</strong> et <strong>Leonardo DiCaprio</strong>. </strong> <strong> VIDEOS ? <strong>Martin Scorsese</strong> : regardez-le diriger <strong>Leonardo DiCaprio</strong> sur le tournage de Shutter Island. </strong>

My Darling Clementine, 1946

<strong>Martin Scorsese</strong> a accepté de mettre en avant 10 affiches de film pour le magazine GQ. Minutieusement choisies, elles évoquent toutes pour le réalisateur une histoire ou un souvenir. Toutes les affiches choisies datent du début du XXème siècle, entre 1916 et 1956, puisqu'elles sont recueillies dans un ouvrage dédié aux posters du cinéma classique hollywoodien : <em>Startruck : Vintage movie posters from classic Hollywood</em>. Elles représentent bien plus qu'un simple élément de promotion, comme l'explique le cinéaste dans l'article. Pour lui, quelques affiches ont su éveiller son imagination. Une image ou une accroche pouvaient l'emmener vers un monde inconnu : celui du film. Ou plutôt, celui qu'il s'imaginait être l'univers du film, avant de découvrir une histoire totalement différente que celle qu'il avait en tête une fois devant l'écran. C'est là toute la magie d'un poster, qui permet, via quelques éléments, de donner des indices sur le long-métrage qui nous est présenté, tout en gardant secrète l'intrigue principale. Et donc de nous faire rêver... <strong>Martin Scorsese</strong> parle de "mystère et de romance" en évoquant ces affiches qui ont marqué son esprit.Gilda, par exemple, qui trône en tête de son classement, est bien plus qu'une image annonçant un film. Pour Scorsese, c'est l'image d'une femme inaccessible, d'une déesse, qui semble flotter sur un nuage. Les couleurs et la pose de <strong>Rita Hayworth</strong> suggèrent un monde de voluptés, une "vie enchantée", selon le réalisateur. Le poster de Giant, qui contribua à élever <strong>James Dean</strong> en icône d'une génération, assis et détendu contre un wagon, sous un ciel immense, a également marqué le réalisateur par sa puissance à rappeler (ou à imaginer ?) quelle était la vie des années 50. Le cinéaste insiste aussi sur le design de chaque époque. Tous ces posters sont ancrés dans leur temps. Pour un amateur de cinéma classique, il est facile de dater le film au premier coup d'oeil. Un constat qui ajoute de la grâce et de la beauté à ces oeuvres, selon Scorsese, qui considère que les affiches de l'époque avaient atteint leur plus haut niveau artistique. Il parle même de "langage des affiches", à propos des multiples sens que l'on peut y découvrir. Il se dit passionné par l'art des posters de film, tout comme Ira Resnick, la personne qui a collectionné toutes les affiches réunies dans le livre Startruck, et espère que ce top 10 sera un premier pas pour passionner d'autres cinéphiles. Plus d'infos sur <strong>Martin Scorsese</strong> : <strong>EXCLU INTERVIEW : <strong>Martin Scorsese</strong> revient sur son travail d'adaptation de Shutter Island </strong> <strong> PHOTOS ? Shutter Island : sur le tournage, avec <strong>Martin Scorsese</strong> et <strong>Leonardo DiCaprio</strong>. </strong> <strong> VIDEOS ? <strong>Martin Scorsese</strong> : regardez-le diriger <strong>Leonardo DiCaprio</strong> sur le tournage de Shutter Island. </strong>

Giant, 1956

<strong>Martin Scorsese</strong> a accepté de mettre en avant 10 affiches de film pour le magazine GQ. Minutieusement choisies, elles évoquent toutes pour le réalisateur une histoire ou un souvenir. Toutes les affiches choisies datent du début du XXème siècle, entre 1916 et 1956, puisqu'elles sont recueillies dans un ouvrage dédié aux posters du cinéma classique hollywoodien : <em>Startruck : Vintage movie posters from classic Hollywood</em>. Elles représentent bien plus qu'un simple élément de promotion, comme l'explique le cinéaste dans l'article. Pour lui, quelques affiches ont su éveiller son imagination. Une image ou une accroche pouvaient l'emmener vers un monde inconnu : celui du film. Ou plutôt, celui qu'il s'imaginait être l'univers du film, avant de découvrir une histoire totalement différente que celle qu'il avait en tête une fois devant l'écran. C'est là toute la magie d'un poster, qui permet, via quelques éléments, de donner des indices sur le long-métrage qui nous est présenté, tout en gardant secrète l'intrigue principale. Et donc de nous faire rêver... <strong>Martin Scorsese</strong> parle de "mystère et de romance" en évoquant ces affiches qui ont marqué son esprit.Gilda, par exemple, qui trône en tête de son classement, est bien plus qu'une image annonçant un film. Pour Scorsese, c'est l'image d'une femme inaccessible, d'une déesse, qui semble flotter sur un nuage. Les couleurs et la pose de <strong>Rita Hayworth</strong> suggèrent un monde de voluptés, une "vie enchantée", selon le réalisateur. Le poster de Giant, qui contribua à élever <strong>James Dean</strong> en icône d'une génération, assis et détendu contre un wagon, sous un ciel immense, a également marqué le réalisateur par sa puissance à rappeler (ou à imaginer ?) quelle était la vie des années 50. Le cinéaste insiste aussi sur le design de chaque époque. Tous ces posters sont ancrés dans leur temps. Pour un amateur de cinéma classique, il est facile de dater le film au premier coup d'oeil. Un constat qui ajoute de la grâce et de la beauté à ces oeuvres, selon Scorsese, qui considère que les affiches de l'époque avaient atteint leur plus haut niveau artistique. Il parle même de "langage des affiches", à propos des multiples sens que l'on peut y découvrir. Il se dit passionné par l'art des posters de film, tout comme Ira Resnick, la personne qui a collectionné toutes les affiches réunies dans le livre Startruck, et espère que ce top 10 sera un premier pas pour passionner d'autres cinéphiles. Plus d'infos sur <strong>Martin Scorsese</strong> : <strong>EXCLU INTERVIEW : <strong>Martin Scorsese</strong> revient sur son travail d'adaptation de Shutter Island </strong> <strong> PHOTOS ? Shutter Island : sur le tournage, avec <strong>Martin Scorsese</strong> et <strong>Leonardo DiCaprio</strong>. </strong> <strong> VIDEOS ? <strong>Martin Scorsese</strong> : regardez-le diriger <strong>Leonardo DiCaprio</strong> sur le tournage de Shutter Island. </strong>

Private detective, 1933

<strong>Martin Scorsese</strong> a accepté de mettre en avant 10 affiches de film pour le magazine GQ. Minutieusement choisies, elles évoquent toutes pour le réalisateur une histoire ou un souvenir. Toutes les affiches choisies datent du début du XXème siècle, entre 1916 et 1956, puisqu'elles sont recueillies dans un ouvrage dédié aux posters du cinéma classique hollywoodien : <em>Startruck : Vintage movie posters from classic Hollywood</em>. Elles représentent bien plus qu'un simple élément de promotion, comme l'explique le cinéaste dans l'article. Pour lui, quelques affiches ont su éveiller son imagination. Une image ou une accroche pouvaient l'emmener vers un monde inconnu : celui du film. Ou plutôt, celui qu'il s'imaginait être l'univers du film, avant de découvrir une histoire totalement différente que celle qu'il avait en tête une fois devant l'écran. C'est là toute la magie d'un poster, qui permet, via quelques éléments, de donner des indices sur le long-métrage qui nous est présenté, tout en gardant secrète l'intrigue principale. Et donc de nous faire rêver... <strong>Martin Scorsese</strong> parle de "mystère et de romance" en évoquant ces affiches qui ont marqué son esprit.Gilda, par exemple, qui trône en tête de son classement, est bien plus qu'une image annonçant un film. Pour Scorsese, c'est l'image d'une femme inaccessible, d'une déesse, qui semble flotter sur un nuage. Les couleurs et la pose de <strong>Rita Hayworth</strong> suggèrent un monde de voluptés, une "vie enchantée", selon le réalisateur. Le poster de Giant, qui contribua à élever <strong>James Dean</strong> en icône d'une génération, assis et détendu contre un wagon, sous un ciel immense, a également marqué le réalisateur par sa puissance à rappeler (ou à imaginer ?) quelle était la vie des années 50. Le cinéaste insiste aussi sur le design de chaque époque. Tous ces posters sont ancrés dans leur temps. Pour un amateur de cinéma classique, il est facile de dater le film au premier coup d'oeil. Un constat qui ajoute de la grâce et de la beauté à ces oeuvres, selon Scorsese, qui considère que les affiches de l'époque avaient atteint leur plus haut niveau artistique. Il parle même de "langage des affiches", à propos des multiples sens que l'on peut y découvrir. Il se dit passionné par l'art des posters de film, tout comme Ira Resnick, la personne qui a collectionné toutes les affiches réunies dans le livre Startruck, et espère que ce top 10 sera un premier pas pour passionner d'autres cinéphiles. Plus d'infos sur <strong>Martin Scorsese</strong> : <strong>EXCLU INTERVIEW : <strong>Martin Scorsese</strong> revient sur son travail d'adaptation de Shutter Island </strong> <strong> PHOTOS ? Shutter Island : sur le tournage, avec <strong>Martin Scorsese</strong> et <strong>Leonardo DiCaprio</strong>. </strong> <strong> VIDEOS ? <strong>Martin Scorsese</strong> : regardez-le diriger <strong>Leonardo DiCaprio</strong> sur le tournage de Shutter Island. </strong>

Orphans of the Storm, 1921

<strong>Martin Scorsese</strong> a accepté de mettre en avant 10 affiches de film pour le magazine GQ. Minutieusement choisies, elles évoquent toutes pour le réalisateur une histoire ou un souvenir. Toutes les affiches choisies datent du début du XXème siècle, entre 1916 et 1956, puisqu'elles sont recueillies dans un ouvrage dédié aux posters du cinéma classique hollywoodien : <em>Startruck : Vintage movie posters from classic Hollywood</em>. Elles représentent bien plus qu'un simple élément de promotion, comme l'explique le cinéaste dans l'article. Pour lui, quelques affiches ont su éveiller son imagination. Une image ou une accroche pouvaient l'emmener vers un monde inconnu : celui du film. Ou plutôt, celui qu'il s'imaginait être l'univers du film, avant de découvrir une histoire totalement différente que celle qu'il avait en tête une fois devant l'écran. C'est là toute la magie d'un poster, qui permet, via quelques éléments, de donner des indices sur le long-métrage qui nous est présenté, tout en gardant secrète l'intrigue principale. Et donc de nous faire rêver... <strong>Martin Scorsese</strong> parle de "mystère et de romance" en évoquant ces affiches qui ont marqué son esprit.Gilda, par exemple, qui trône en tête de son classement, est bien plus qu'une image annonçant un film. Pour Scorsese, c'est l'image d'une femme inaccessible, d'une déesse, qui semble flotter sur un nuage. Les couleurs et la pose de <strong>Rita Hayworth</strong> suggèrent un monde de voluptés, une "vie enchantée", selon le réalisateur. Le poster de Giant, qui contribua à élever <strong>James Dean</strong> en icône d'une génération, assis et détendu contre un wagon, sous un ciel immense, a également marqué le réalisateur par sa puissance à rappeler (ou à imaginer ?) quelle était la vie des années 50. Le cinéaste insiste aussi sur le design de chaque époque. Tous ces posters sont ancrés dans leur temps. Pour un amateur de cinéma classique, il est facile de dater le film au premier coup d'oeil. Un constat qui ajoute de la grâce et de la beauté à ces oeuvres, selon Scorsese, qui considère que les affiches de l'époque avaient atteint leur plus haut niveau artistique. Il parle même de "langage des affiches", à propos des multiples sens que l'on peut y découvrir. Il se dit passionné par l'art des posters de film, tout comme Ira Resnick, la personne qui a collectionné toutes les affiches réunies dans le livre Startruck, et espère que ce top 10 sera un premier pas pour passionner d'autres cinéphiles. Plus d'infos sur <strong>Martin Scorsese</strong> : <strong>EXCLU INTERVIEW : <strong>Martin Scorsese</strong> revient sur son travail d'adaptation de Shutter Island </strong> <strong> PHOTOS ? Shutter Island : sur le tournage, avec <strong>Martin Scorsese</strong> et <strong>Leonardo DiCaprio</strong>. </strong> <strong> VIDEOS ? <strong>Martin Scorsese</strong> : regardez-le diriger <strong>Leonardo DiCaprio</strong> sur le tournage de Shutter Island. </strong>

Daphne and the Pirate, 1916

<strong>Martin Scorsese</strong> a accepté de mettre en avant 10 affiches de film pour le magazine GQ. Minutieusement choisies, elles évoquent toutes pour le réalisateur une histoire ou un souvenir. Toutes les affiches choisies datent du début du XXème siècle, entre 1916 et 1956, puisqu'elles sont recueillies dans un ouvrage dédié aux posters du cinéma classique hollywoodien : <em>Startruck : Vintage movie posters from classic Hollywood</em>. Elles représentent bien plus qu'un simple élément de promotion, comme l'explique le cinéaste dans l'article. Pour lui, quelques affiches ont su éveiller son imagination. Une image ou une accroche pouvaient l'emmener vers un monde inconnu : celui du film. Ou plutôt, celui qu'il s'imaginait être l'univers du film, avant de découvrir une histoire totalement différente que celle qu'il avait en tête une fois devant l'écran. C'est là toute la magie d'un poster, qui permet, via quelques éléments, de donner des indices sur le long-métrage qui nous est présenté, tout en gardant secrète l'intrigue principale. Et donc de nous faire rêver... <strong>Martin Scorsese</strong> parle de "mystère et de romance" en évoquant ces affiches qui ont marqué son esprit.Gilda, par exemple, qui trône en tête de son classement, est bien plus qu'une image annonçant un film. Pour Scorsese, c'est l'image d'une femme inaccessible, d'une déesse, qui semble flotter sur un nuage. Les couleurs et la pose de <strong>Rita Hayworth</strong> suggèrent un monde de voluptés, une "vie enchantée", selon le réalisateur. Le poster de Giant, qui contribua à élever <strong>James Dean</strong> en icône d'une génération, assis et détendu contre un wagon, sous un ciel immense, a également marqué le réalisateur par sa puissance à rappeler (ou à imaginer ?) quelle était la vie des années 50. Le cinéaste insiste aussi sur le design de chaque époque. Tous ces posters sont ancrés dans leur temps. Pour un amateur de cinéma classique, il est facile de dater le film au premier coup d'oeil. Un constat qui ajoute de la grâce et de la beauté à ces oeuvres, selon Scorsese, qui considère que les affiches de l'époque avaient atteint leur plus haut niveau artistique. Il parle même de "langage des affiches", à propos des multiples sens que l'on peut y découvrir. Il se dit passionné par l'art des posters de film, tout comme Ira Resnick, la personne qui a collectionné toutes les affiches réunies dans le livre Startruck, et espère que ce top 10 sera un premier pas pour passionner d'autres cinéphiles. Plus d'infos sur <strong>Martin Scorsese</strong> : <strong>EXCLU INTERVIEW : <strong>Martin Scorsese</strong> revient sur son travail d'adaptation de Shutter Island </strong> <strong> PHOTOS ? Shutter Island : sur le tournage, avec <strong>Martin Scorsese</strong> et <strong>Leonardo DiCaprio</strong>. </strong> <strong> VIDEOS ? <strong>Martin Scorsese</strong> : regardez-le diriger <strong>Leonardo DiCaprio</strong> sur le tournage de Shutter Island. </strong>

Martin Scorsese a accepté de mettre en avant 10 affiches de film pour le magazine GQ. Minutieusement choisies, elles évoquent toutes pour le réalisateur une histoire ou un souvenir. Toutes les affiches choisies datent du début du XXème siècle, entre 1916 et 1956, puisqu'elles sont recueillies dans un ouvrage dédié aux posters du cinéma classique hollywoodien : Startruck : Vintage movie posters from classic Hollywood. Elles représentent bien plus qu'un simple élément de promotion, comme l'explique le cinéaste dans l'article. Pour lui, quelques affiches ont su éveiller son imagination. Une image ou une accroche pouvaient l'emmener vers un monde inconnu : celui du film. Ou plutôt, celui qu'il s'imaginait être l'univers du film, avant de découvrir une histoire totalement différente que celle qu'il avait en tête une fois devant l'écran. C'est là toute la magie d'un poster, qui permet, via quelques éléments, de donner des indices sur le long-métrage qui nous est présenté, tout en gardant secrète l'intrigue principale. Et donc de nous faire rêver... Martin Scorsese parle de "mystère et de romance" en évoquant ces affiches qui ont marqué son esprit.Gilda, par exemple, qui trône en tête de son classement, est bien plus qu'une image annonçant un film. Pour Scorsese, c'est l'image d'une femme inaccessible, d'une déesse, qui semble flotter sur un nuage. Les couleurs et la pose de Margarita Carmen Cansino suggèrent un monde de voluptés, une "vie enchantée", selon le réalisateur. Le poster de Giant, qui contribua à élever James Dean en icône d'une génération, assis et détendu contre un wagon, sous un ciel immense, a également marqué le réalisateur par sa puissance à rappeler (ou à imaginer ?) quelle était la vie des années 50. Le cinéaste insiste aussi sur le design de chaque époque. Tous ces posters sont ancrés dans leur temps. Pour un amateur de cinéma classique, il est facile de dater le film au premier coup d'oeil. Un constat qui ajoute de la grâce et de la beauté à ces oeuvres, selon Scorsese, qui considère que les affiches de l'époque avaient atteint leur plus haut niveau artistique. Il parle même de "langage des affiches", à propos des multiples sens que l'on peut y découvrir. Il se dit passionné par l'art des posters de film, tout comme Ira Resnick, la personne qui a collectionné toutes les affiches réunies dans le livre Startruck, et espère que ce top 10 sera un premier pas pour passionner d'autres cinéphiles. Plus d'infos sur Martin Scorsese : EXCLU INTERVIEW : Martin Scorsese revient sur son travail d'adaptation de Shutter Island PHOTOS – Shutter Island : sur le tournage, avec Martin Scorsese et Leonardo DiCaprio. VIDEOS – Martin Scorsese : regardez-le diriger Leonardo DiCaprio sur le tournage de Shutter Island.