Sublimes créatures

Une alternative soignée à la saga «Twilight», particulièrement bien interprétée, notamment par ses actrices, mais peu de séquences spectaculaires et un fantastique très soft.

Sublimes Créatures calque son ­intrigue sur celle de Twilight, (...) La comparaison s'arrête là. Le scénario de ce récit d'émancipation romanesque est plus étoffé, et porteur d'une critique acerbe sur les communautés religieuses radicales qui revendiquent l'intolérance, interdisent certaines ­lectures et diabolisent les étrangers. Le ton est moins mièvre, grâce à l'humour et au jeu des acteurs : l'énergique Alden Ehrenreich face à la timide mais rafraîchissante Alice Englert.

Un lycéen rêvant d’aventures, une jolie ensorceleuse gothique et sa famille agitée de la baguette magique emportent le spectateur jusqu’au cœur de la guerre de Sécession. Ils sont jeunes, beaux, tous les séparent mais ils s'aiment.... Vous avez dit Twilight ?

Prenez la magie d’ Harry Potter, ajoutez le romantisme de Twilight, vous obtiendrez Sublimes créatures. En adaptant la saga littéraire à succès 16 Lunes, les producteurs ne sortent pas des sentiers battus. Mais la potion pimentée d’effets spéciaux et les acteurs envoûtants devraient ensorceler les ados.

Twilight a fait des petits, et le premier-né dépasse largement l'original (...) le traitement est plus habile ici. Une action sans temps mort, de jeunes acteurs aux épaules solides, des personnages modernes, et une love-story franchement pas cruche.

Un film de sorcières pour ados... intelligents ! Avec des références littéraires, de l'humour, des grosses piques contre l'Amérique puritaine, deux jeunes acteurs naturels et charmants et de super "anciens" ( Jeremy Irons, très classe, et Emma Thompson, survoltée). Rien à voir avec Twilight. Youpi.

Jeremy Irons et Emma Thompson s'amusent, ça tombe bien, nous aussi.

Un romanesque enchanteur ponctué de dialogues pertinents et humoristiques pour cette adaptation réussie d'une saga à succès.

Présenté comme la relève de Twilight, ce film n'a rien à envier à son aîné! Évitant les clichés du genre, le scénario nous prend de court et l'histoire d'amour des deux héros étonne par son approche mature.

Adapté de la saga littéraire 16 Lunes, Sublimes créatures reprend les codes et ingrédients du genre, mêlant amour et surnaturel. La bonne idée du film, c’est son casting intelligent, qui met face à face un beau gosse charismatique, Alden Ehrenreich, et une fille au physique de girl next door, Alice Englert, à qui les spectatrices s'’identifieront facilement. Autour de ces deux jeunes prometteurs, on notera la sympathique prestation d'’Emma Thompson et Jeremy Irons.

On rapporte que les lecteurs du roman original auraient boycotté aux USA l’adaptation pour ses libertés narratives sur la toute fin. C’est dommage. Sublimes créatures, pour ses spectateurs adolescents, mériterait sûrement d’exister comme nouvelle saga cinématographique. Ses deux jeunes interprètes, Alden Ehrenreich (frère de Vincent Gallo dans Tetro, vu aussi dans Twixt de Coppola) et Alice Englert (fille de la réalisatrice Jane Campion), dans leur simplicité physique et leur justesse de jeu, ont un charisme autrement plus séduisant car moins poseur que Kristen Stewart et Robert Pattinson dans le premier Twilight.

Le couple est convaincant et le cinéaste joue la carte réaliste, bienvenue, pour mettre en scène ces amours désenchantées.

Vous pensiez être débarrassés de Twilight, voici Sublimes Créatures ! Une romance fantastique anodine et d’un ennui poli mais pas désagréable pour autant, au couple d’acteurs prometteurs.

Moins coincé que "Twilight", plus second degré et très bien interprété (mention spéciale à Alden Ehrenreich, vu dans les derniers Coppola) "Sublimes Créatures", adaptation d'un roman « jeunes adultes » est un teen movie honnête, qui lance une saga qui risque de faire parler d'elle dans les prochaines années.

Cet ersatz de Twilight, basé sur la série de romans 16 lunes, parvient à gommer certains défauts de son illustre modèle. À commencer par le refus de glamouriser ces deux ados qui vivent un amour que le destin leur interdit, pour les rendre plus concrets. On se serait bien passé d'effets spéciaux au top de ce que l'on faisait en 1988 et d'un scénario convenu, mais malgré tout, Sublimes créatures tente d'élever un peu le niveau en abordant certaines questions adolescentes et, surtout, en usant d'un second degré aussi inattendu que bienvenu.

Tiré d'un best seller sur une romance impossible entre un mortel et une enchanteresse, Sublimes créatures rappelle fortement Twilight. A cause de la faiblesse de ses personnages et de son manque de tension, il ne connaitra peut-être pas le même succès

La première demi-heure n'est pas désagréable (...) mais la suite s'enlise dans l'explication laborieuse d'un univers fantastique. Créatures pas très sublimes.

Une nouvelle saga post-Twilight moins glam mais plus second degré.

Un ersatz de Twilight mâtiné d’Harry Potter qui commence sur un ton agréablement alerte, mais qui se noie vite dans une guerre de sorcières et d’effets spéciaux sans réelle magie.

Un film élégant mais un peu trop maniéré parfois, ce qui peut porter à rire.

Adaptation d’une saga gothique pour ados. Une heure brillante et une heure de débandade moralisante.

Beaucoup d’incohérences au niveau de la narration, une tentative de ressembler à du Tim Burton.

Un soupçon, mais vraiment rien qu’un soupçon, influencé par le style macabre de Tim Burton aurait peut être aidé.

Alden Ehrenreich et Alice Englert prendront-ils la succession d'Edward-Robert Pattinson et Bella-Kristen Stewart, le couple de la saga Twilight ? Il faudrait que ce nouveau film fantastique pour adolescents soit moins sage pour qu'on y croit.

« Sublimes créatures » repose entièrement sur les épaules des 2 personnages principaux et très honnêtement, ça fonctionne bien.

Pour les novices, le résultat paraîtra classique mais de bonne facture avec un univers plutôt crédible. Le film, réalisé par Richard LaGravenese, ne manque pas de rythme et si le charisme des deux acteurs principaux, Alice Englert (la fille de Jane Campion et Alden Ehrenreich (vue chez Coppola dans "Tetro") n'est pas encore à son top, quelques seconds rôles de choix rattrapent le tout : Emma Thompson, Jeremy Irons, Emmy Rossum ou encore Viola Davis. Si l'œuvre originale présente un intérêt littéraire plus conséquent que les écrits de Stephénie Meyer, il faut aussi se rappeler que nous sommes dans un domaine calibré et ciblé sur les adolescents et les jeunes adultes.

A part le scénario trop compliqué et les effets trop abondants, certains moments restent prometteurs.

Une bonne détente, on veut savoir à tout prix ce qui va arriver à Lena, cette sorcière adolescente.

Une tentative évidente d’annoncer la relève de l’épopée « Twilight » dont la fin a laissé les fans si tristes.

Il reste juste à espérer que « Sublimes créatures » soit un film unique, sans suite, pour ne pas altérer ses charmes.

Ce film fantastique de sorciers et de sorcières, déambulant parmi nous, aurait pu être un nouveau « Twilight ». Mais le scénario plutôt risible et la performance surjouée de Emma Thompson et Jeremy Irons nous emmène sur un autre registre.

En définitif, ce film manque de l’unique ingrédient dont il a le plus besoin : la magie.