Toutes les critiques de La grande boucle

Les critiques de Première

  1. Première
    par Christophe Narbonne

    Produit avec la bénédiction du groupe Amaury (la société qui gère le Tour de France), le nouveau fim du réalisateur de Jean-Philippe suscite un certain embarras, indépendamment de son scénario qui pédale dans la semoule dès le premier col scénaristique. Voilà donc un mec ordinaire, paré de toutes les vertus (droit, courageux, ayant le sens de l’effort et des responsabilités), symbole d’une France travailleuse un peu déconsidérée mais qui n’a pas perdu tout espoir. Pourquoi pas. Là où ça se gâte, c’est quand la parabole prend le chemin de la réhabilitation d’un sport miné par le dopage et la suspicion à travers le personnage du méchant, sorte de Lance Armstrong italien, arrogant et antipathique, dont
    on finira par nous révéler l’intégrité absolue. À ce niveau-là, ce n’est plus du cinéma mais du marketing.

  2. Première
    par Christophe Narbonne

    Produit avec la bénédiction du groupe Amaury (la société qui gère le Tour de France), le nouveau fi lm du réalisateur de Jean-Philippe suscite un certain embarras, indépendamment de son scénario qui pédale dans la semoule dès le premier col scénaristique. Voilà donc un mec ordinaire, paré de toutes les vertus (droit, courageux, ayant le sens de l’effort et des responsabilités), symbole d’une France travailleuse un peu déconsidérée mais qui n’a pas perdu tout espoir. Pourquoi pas. Là où ça se gâte, c’est quand la parabole prend le chemin de la réhabilitation d’un sport miné par le dopage et la suspicion à travers le personnage du méchant, sorte de Lance Armstrong italien, arrogant et antipathique, dont on finira par nous révéler l’intégrité absolue. À ce niveau-là, ce n’est plus du cinéma mais du marketing.

  3. Première
    par Christophe Narbonne

    Produit avec la bénédiction du groupe Amaury (la société qui gère le Tour de France), le nouveau film du réalisateur de Jean-Philippe suscite un certain embarras, indépendamment de son scénario qui pédale dans la semoule dès le premier col scénaristique. Voilà donc un mec ordinaire, paré de toutes les vertus (droit, courageux, ayant le sens de l’effort et des responsabilités), symbole d’une France travailleuse un peu déconsidérée mais qui n’a pas perdu tout espoir. Pourquoi pas. Là où ça se gâte, c’est quand la parabole prend le chemin de la réhabilitation d’un sport miné par le dopage et la suspicion à travers le personnage du méchant, sorte de Lance Armstrong italien, arrogant et antipathique, dont
    on finira par nous révéler l’intégrité absolue. À ce niveau-là, ce n’est plus du cinéma mais du marketing.

Les critiques de la Presse

  1. Pariscope
    par Dimitri Denorme

    « La Grande Boucle » a tout du feel good movie, qui, si l’on excepte un démarrage un peu longuet, se regarde sans déplaisir. Jolie interprétation de Clovis Cornillac qui apporte beaucoup au résultat final. Et si l’on était mauvaise langue on conclurait que le héros du film de Tuel défend, plus que le Tour lui-même, les vraies et saines valeurs sportives…

  2. Le Parisien
    par Hubert Lizé

    Le réalisateur (...) a réussi une bien belle échappée. (...) De la sueur, des répliques hautes en couleur, du talent, de la tendresse et des situations comiques.

  3. Version Femina
    par La rédaction de Version Fémina

    . Familiale sans être mièvre, cette comédie (avec aussi Elodie Bouchez) pleine d’entrain ne se prive jamais, entre rire, suspense et émotion bien dosée, d’égratigner subtilement les travers du Tour. A voir.

  4. Voici
    par Ariane Valadié

    Tous les ingrédients d'une honnête comédie populaire à la française, avec un casting ad hoc.

  5. A nous Paris
    par Fabien Menguy

    Un challenge solitaire qui à première vue ne paraît pas très cinématographique, sauf que son parcours va être jalonné de rencontres plutôt originales. Suffisamment en tout cas pour donner une comédie aux situations souvent très attendues, certes, mais plutôt très bon enfant, et en tout cas enthousiasmante. Un bel hommage au Tour et à ses passionnés.

  6. Ecran Large
    par Sandy Gillet

    Quelques passages bien vus au sein d’une comédie que l’on aurait aimé toutefois plus dopante mais qui boucle tout de même son périple confortablement installé en milieu de peloton.

  7. Toutlecine.com
    par Anne-Laure Thirion

    Le métrage est également une suite d'étapes de paysages. Pour les besoins du tournage, l'équipe du film a tourné dans 13 lieux différents ! Une variété La Grande boucled'horizons qui vient parfaitement se fondre dans le paysage que Tuel impose à sa mise en scène. Mais au-delà des lieux qui diffèrent, les personnages sont aussi opposés, du pur supporter de vélo, au rappeur en passant par l'ado en pleine crise, Tuel nous prouve avec humour et tendresse que tout ce petit monde peut cohabiter en s'apportant des expériences et des points de vues divergeant.

  8. Le JDD
    par Danielle Attali

    Comédie cycliste prélude au Tour, La Grande Boucle n’évite pas quelques lourdeurs, notamment sur les scènes de dopage. Le réalisateur avait su mettre un peu plus d’émotion dans Jean-Philippe. Mais l’ensemble, porté par le sportif tandem Cornillac-Bouli Lanners, reste sympathique, reflet de cette France pas compliquée, enthousiaste et profondément
    attachée à son patrimoine.

  9. Version Femina
    par Anne Michelet

    Familiale sans être mièvre, cette comédie (avec aussi Elodie Bouchez) pleine d’entrain ne se prive jamais, entre rire, suspense et émotion bien dosée, d’égratigner subtilement les travers du Tour. A voir.

  10. Les Inrocks
    par Romain Blondeau

    Une fable rétro et démago sur le vélo.

  11. Nouvel Obs
    par Jean-Philippe Guerand

    Le film atteint toutefois ses limites en raison même de sa construction, étape après étape. Nul doute qu’il ravira les aficionados qui se massent sur les bas-côtés et restent cramponnés à leur radio ou à leur téléviseur pour suivre les forçats du bitume. On pourra également objecter à cette fable qu’elle reste à bonne distance de la réalité, en faisant totalement abstraction de la gangrène qui a rongé cette institution et dévasté ses podiums : le dopage. Mais « la Grande Boucle » n’a pas d’autre ambition que d’alimenter la légende.

  12. Positif
    par Olivier de Bruyn.

    pourvu d'un scénario qui en vaut d'autres et porté par des acteurs motivés (...), La Grande Boucle divertit agréablement et, sans révolutionner la grammaire du film sportif (...), prouve que la comédie populaire n'a rien à perdre, loin de là, en faisant preuve d'un minimum de rigueur et d'imagination.

  13. A voir à lire
    par Kevin Bertrand

    Malgré une belle brochette de comédiens (Clovis Cornillac, Bruno Lochet, Bouli Lanners…), La Grande Boucle peine à être autre chose qu’une comédie franchouillarde et prévisible. Les fans du Tour de France méritaient mieux…

  14. StudioCiné Live
    par Véronique Trouillet

    Oui, c'est une fiction mais qui, aujourd'hui, peut croire qu'un cycliste du dimanche puisse boucler un Tour de France comme un pro?

  15. Le Figaro
    par Emmanuele Frois

    L’histoire, simplette, pédale dans la semoule pour tomber très vite à plat. Petit braquet.

  16. Télérama
    par Jacques Morice

    François, Français très moyen, est quitté par sa femme et licencié dans la même journée. Pour oublier et se prouver qu'il est quelqu'un, il enfourche son vélo et part faire le Tour de France, avec un jour d'avance sur les pros. Scénario indigent, racolage à tous les étages, autopromotion du Groupe Amaury : de quoi dégoûter de "la petite reine"...

  17. L'Express
    par Eric Libiot

    La Grande boucle roule au ras du bitume et ne passe jamais le braquet supérieur.