PHOTOS - Je retourne chez ma mère : Annie Cordy : "Une comédie positive, comme moi !"
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Je retourne chez ma mère : Annie Cordy : "Une comédie positive, comme moi !"
Peggy Leray (Katia)
Je retourne chez ma mère : Annie Cordy : "Une comédie positive, comme moi !"
A 83 ans, Annie Cordy joue une retraitée pleine de peps qui héberge son fils au chômage mais continue de vivre sa vie, avec son amoureux. <strong>Je retourne chez ma mère</strong> est une comédie sans tabou, rigolote comme tout, diffusée ce soir à 20h35 sur <strong>France 3 </strong>! <em>"Si c?est comme ça, je retourne chez ma mère !" </em>François pourrait lancer cette réplique à une épouse. Mais c?est la misère qu?il fuit. Informaticien, divorcé, ce quadragénaire a perdu son travail et dort dans sa voiture, puis se tourne vers le seul refuge qui lui reste : la maison de son enfance, chez maman, à qui il fait croire qu?il a trouvé un job dans la région. Veuve depuis vingt ans, Alice n?a rien d?une vieille dame au tricot. François découvre une mère métamorphosée, qui a même un amant, Paul. Un rôle cousu main pour l?ex "bonne du curé" ! Télé 7 jours a rencontré la chanteuse/actrice. <strong>Alice n?est pas le genre à baisser les bras. Comme vous ?</strong> Oui, elle convainc son fils de tout faire pour retrouver un boulot. C?est une comédie très positive, comme moi. Dans une situation semblable, je ne me lamenterais pas mais dirais "on va trouver une solution". Je vais toujours de l?avant. Dans la rue, certaines femmes m?arrêtent pour me confier qu?elles ont perdu leur mari. Je leur réponds : A part y penser et prier, vous ne pouvez plus rien pour lui. Maintenant, pensez aux vivants à vos côtés, qui ont besoin de vous ! <strong>Vous-même vous avez été mariée quarante ans à François-Henri Bruno, mort en 1989. Avez-vous pensé refaire votre vie comme Alice ?</strong> Non, pas du tout. Après son décès, je me suis replongée dans le boulot comme une dingue. Mon mari n?aurait jamais voulu que je m?arrête et que je reste en pleurs. Lui aussi était positif. De temps en temps, je regarde derrière moi et me dis : "c?est dingue, tout ce que tu as fais dans ta vie ! " <strong>Vous êtes accro au travail ?</strong> Les vacances, ça m?enquiquine. Le travail me stimule et me fait vivre. Si je n?exerçais pas ce métier, je m?adonnerais à la peinture, à la sculpture ou je referais du piano. <strong>La sexualité du troisième âge reste un tabou. Mais pas dans ce téléfilm ! Qu?en avez-vous pensé ?</strong> J?ai trouvé ça formidable. Je ne vois pas pourquoi les hommes peuvent prendre des filles de 20 ans, et nous pas ! Cela dit, je manque de temps pour avoir un amant : trop de boulot ! <strong>Dans le film, ce couple ne manque pas d?énergie !</strong> Oh oui ! Paul est fou amoureux d?Alice. Lors d?un départ en voiture, son interprète, Rufus, m?a pris dans ses bras et m?a serrée si fort que ? crack !? il m?a fêlé une côte. C?était à la fin du tournage. Le pauvre Rufus était dans un tel état de désolation qu?il m?a téléphoné plusieurs fois pour savoir si je souffrais pas trop. J?ai eu très mal sur le moment mais nous avons beaucoup ri après-coup. <strong>Alice booste son fils. Si vous aviez eu des enfants, comment les auriez-vous élevés ?</strong> J?aurais été une mère poule. <strong>Qu?avez-vous ressenti quand Alice envisage de vivre en maison de retraite ?</strong> Quelle horreur ! Une scène terrible. Je ne voudrais pas être dépendante. D?autant que je suis une enfant de la guerre : pour moi, retraite voulait dire défaite ! Interview Marie Anne Gongora du magazine Télé 7 jours
Je retourne chez ma mère : Annie Cordy : "Une comédie positive, comme moi !"
Pierre CASSIGNARD, Annie CORDY (Alice)
Je retourne chez ma mère : Annie Cordy : "Une comédie positive, comme moi !"
Annie CORDY (Alice), RUFUS (Gorbatchev)
Je retourne chez ma mère : Annie Cordy : "Une comédie positive, comme moi !"
Annie CORDY (Alice), RUFUS (Gorbatchev)
Je retourne chez ma mère : Annie Cordy : "Une comédie positive, comme moi !"
Je retourne chez ma mère : Annie Cordy : "Une comédie positive, comme moi !"
Annie CORDY (Alice), Katia TCHENKO (Odette)
Je retourne chez ma mère : Annie Cordy : "Une comédie positive, comme moi !"
RUFUS (Gorbatchev)
Je retourne chez ma mère : Annie Cordy : "Une comédie positive, comme moi !"
Annie CORDY (Alice), RUFUS (Gorbatchev)
Je retourne chez ma mère : Annie Cordy : "Une comédie positive, comme moi !"
Annie CORDY (Alice), RUFUS (Gorbatchev)
Je retourne chez ma mère : Annie Cordy : "Une comédie positive, comme moi !"
Annie CORDY (Alice), RUFUS (Gorbatchev)
Je retourne chez ma mère : Annie Cordy : "Une comédie positive, comme moi !"
RUFUS (Gorbatchev)
Je retourne chez ma mère : Annie Cordy : "Une comédie positive, comme moi !"
Pierre CASSIGNARD (François), Annie CORDY (Alice)
Je retourne chez ma mère : Annie Cordy : "Une comédie positive, comme moi !"
Katia TCHENKO (Odette)
Je retourne chez ma mère : Annie Cordy : "Une comédie positive, comme moi !"
Pierre CASSIGNARD (François)
A 83 ans, Annie Cordy joue une retraitée pleine de peps qui héberge son fils au chômage mais continue de vivre sa vie, avec son amoureux. Je retourne chez ma mère est une comédie sans tabou, rigolote comme tout, diffusée ce soir à 20h35 sur France 3 !"Si c’est comme ça, je retourne chez ma mère !" François pourrait lancer cette réplique à une épouse. Mais c’est la misère qu’il fuit. Informaticien, divorcé, ce quadragénaire a perdu son travail et dort dans sa voiture, puis se tourne vers le seul refuge qui lui reste : la maison de son enfance, chez maman, à qui il fait croire qu’il a trouvé un job dans la région. Veuve depuis vingt ans, Alice n’a rien d’une vieille dame au tricot. François découvre une mère métamorphosée, qui a même un amant, Paul. Un rôle cousu main pour l’ex "bonne du curé" ! Télé 7 jours a rencontré la chanteuse/actrice.Alice n’est pas le genre à baisser les bras. Comme vous ?Oui, elle convainc son fils de tout faire pour retrouver un boulot. C’est une comédie très positive, comme moi. Dans une situation semblable, je ne me lamenterais pas mais dirais "on va trouver une solution". Je vais toujours de l’avant. Dans la rue, certaines femmes m’arrêtent pour me confier qu’elles ont perdu leur mari. Je leur réponds : A part y penser et prier, vous ne pouvez plus rien pour lui. Maintenant, pensez aux vivants à vos côtés, qui ont besoin de vous !Vous-même vous avez été mariée quarante ans à François-Henri Bruno, mort en 1989. Avez-vous pensé refaire votre vie comme Alice ?Non, pas du tout. Après son décès, je me suis replongée dans le boulot comme une dingue. Mon mari n’aurait jamais voulu que je m’arrête et que je reste en pleurs. Lui aussi était positif. De temps en temps, je regarde derrière moi et me dis : "c’est dingue, tout ce que tu as fais dans ta vie ! "Vous êtes accro au travail ?Les vacances, ça m’enquiquine. Le travail me stimule et me fait vivre. Si je n’exerçais pas ce métier, je m‘adonnerais à la peinture, à la sculpture ou je referais du piano.La sexualité du troisième âge reste un tabou. Mais pas dans ce téléfilm ! Qu’en avez-vous pensé ?J’ai trouvé ça formidable. Je ne vois pas pourquoi les hommes peuvent prendre des filles de 20 ans, et nous pas ! Cela dit, je manque de temps pour avoir un amant : trop de boulot !Dans le film, ce couple ne manque pas d’énergie !Oh oui ! Paul est fou amoureux d’Alice. Lors d’un départ en voiture, son interprète, Rufus, m’a pris dans ses bras et m’a serrée si fort que – crack !– il m’a fêlé une côte. C’était à la fin du tournage. Le pauvre Rufus était dans un tel état de désolation qu’il m’a téléphoné plusieurs fois pour savoir si je souffrais pas trop. J’ai eu très mal sur le moment mais nous avons beaucoup ri après-coup.Alice booste son fils. Si vous aviez eu des enfants, comment les auriez-vous élevés ?J’aurais été une mère poule.Qu’avez-vous ressenti quand Alice envisage de vivre en maison de retraite ?Quelle horreur ! Une scène terrible. Je ne voudrais pas être dépendante. D’autant que je suis une enfant de la guerre : pour moi, retraite voulait dire défaite !Interview Marie Anne Gongora du magazine Télé 7 jours
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