Toutes les critiques de Robot and Frank

Les critiques de Première

  1. Première
    par Frédéric Foubert

    Un cambrioleur à la retraite guetté par Alzheimer est contraint de cohabiter avec un robotmajordome chargé de lui préparer de bons petits plats... Premier long d’un jeune Américain inconnu au bataillon, Robot and Frank parvient à dépoussiérer ses références SF un peu old school (La Quatrième Dimension, Isaac Asimov...) grâce à un récit dynamique et constamment surprenant. Commençant comme un buddy movie en pantoufles, il vire au film de casse mélancolique avant de s’achever en conte philosophique sur la mémoire et les machines. Mineur mais attachant.

Les critiques de la Presse

  1. Télé loisirs
    par Gwénola Trouillard

    Un petit bijou SF drôle, mélancolique et toujours surprenant, porté par quatre comédiens magnifiques.

  2. Elle
    par Elodie Petit

    Le film met un peu de temps à démarrer, à nous capter. Mais ce robot humanoïde nous attendrit dès son entrée en scène.

  3. Metro
    par Mehdi Omaïs

    Ce premier film du jeune réalisateur américain Jake Shreier offre une alternative touchante aux blockbusters d'Hollywood.

  4. par Yann Lebecque

Ce film [est] émouvant, simple et sincère, porté par des acteurs de premier plan et un scénario tout en finesse. (...) Dans la peau du personnage principal, le magnifique Frank Langella est parfait.

  • Les Inrocks
    par Vincent Ostria

    Cela reste un petit film, mais c'est justement cette modestie qui le rend aimable.

  • Ecran Large
    par Sandy Gillet

    Un film à l’humanité débordante jusque dans les moindres rouages et cartes mère du robot. Quant à Langella, il est tout simplement magnifique dans ce personnage aussi complexe qu’attachant.

  • Le Parisien
    par Alain Grasset

    Les rapports d’abord conflictuels entre Frank et le robot se révèlent pleins de surprises au fur et à mesure d’une intrigue qui mêle des moments drôles et émouvants. Ce film attachant doit beaucoup à la remarquable interprétation de Frank Langella dans le rôle de Frank.

  • Le JDD
    par jdd jdd

    Le remarquable Frank Langella, 74 ans, incarne avec humanité et dignité ce voleur bourru au grand coeur. Une histoire futuriste et nostalgique, drôle et tragique, terriblement attendrissante.

  • Télérama
    par Pierre Murat

    Gentille comédie qui rappelle les vieux Disney des années 60, style « L'Espion aux pattes de velours ». Amusant et nostalgique.

  • Le Canard Enchainé
    par La rédaction du canard enchaîné

    L'argument de cette fable peut paraître lunaire. Mais elle est si bien jouée (...) avec des méchants si délectables, dont un insupportable galeriste New-Yorkais, qu'elle rattrape sont handicap initial.

  • GQ
    par Frédéric Foubert

    Un cambrioleur à la retraite guetté par Alzheimer est contraint de cohabiter avec un robotmajordome chargé de lui préparer de bons petits plats... Premier long d’un jeune Américain inconnu au bataillon, Robot and Frank parvient à dépoussiérer ses références SF un peu old school (La Quatrième Dimension, Isaac Asimov...) grâce à un récit dynamique et constamment surprenant. Commençant comme un buddy movie en pantoufles, il vire au film de casse mélancolique avant de s’achever en conte philosophique sur la mémoire et les machines. Mineur mais attachant.

  • Chronic'art
    par Guillaume Loison

    Dans un futur proche, un braqueur à la retraite mi-dépressif mi-déliquescent, retrouve la forme au contact d’un robot aide-soignant que lui impose son fils. Requinqué, le vieux filou voit même en cette machine pensante le partenaire idéal pour tenter un dernier coup… Une série B ludique et maligne, qui jongle avec doigté entre l’étude de caractère « eastwoodo-sundancienne » et le pur cinéma de genre, tout en jouant astucieusement de son manque de moyens. On pense surtout à l’animation ultrasommaire de l’androïde (en gros, un adolescent planqué dans un baril de lessive), qui, à l’heure du tout numérique, exhume avec délice le pouvoir d’incarnation des effets spéciaux mécaniques.

  • Le Monde
    par Aureliano Tonet

    Robot and Frank tient plutôt les promesses de son synopsis. Mais, face à sa mise scène anonyme et son empathie pour l'androïde sacrifié, un doute survient : ce film a-t-il été réalisé pour un humain ?

  • Le Figaro
    par Marie-Noëlle Tranchant

    Un voleur à la retraite atteint de la maladie d'Alzheimer est obligé de vivre avec un robot à tout faire. Une drôle d'association pour une fable de science-fiction gentillette.

  • A voir à lire
    par François Blet

    Premier film sur l’électroménager anti-Alzheimer, Robot and Frank est aussi transparent que son titre.

  • CinémaTeaser
    par Ilan Ferry

    Le film accuse quelques longueurs mais le propos est traité avec une telle pudeur qu'on ne peut qu'être ému...

  • L'Express
    par Julien Welter

    Comme souvent, Langella joue avec beaucoup de finesse un retraité dont l'esprit prend peu à peu la tangente. Même si le récit manque de souffle, le tout fonctionne grâce à ce comédien irréprochable.

  • StudioCiné Live
    par Emmanuel Cirodde

    Un récit malicieux et touchant, dont seuls une intrigue un peu lâche et un robot affreusement cheap (on devine le type à l'intérieur) atténuent la portée.

  • A nous Paris
    par Fabien Menguy

    Cette belle idée prend parfois des allures de “Wall·E” du troisième âge, mais offre au final une aimable fable futuriste sur la vieillesse, aux émotions pas si artificielles.

  • L'Express
    par Julien Welter

    L'idée est belle mais, comme le titre l'indique, d'une certaine manière, le charme du film repose entièrement sur la relation entre Robot et Franck joué par Franck Langella (...) Même si le récit manque de souffle, le tout fonctionne grâce à ce comédien irréprochable

  • Critikat.com
    par Théo Ribeton

    Si Jake Shreier tire du thème du robot des pistes très disparates et confuses, il réussit le mieux quand il choisit de faire de son film un agréable glissement vers la folie.