Toutes les critiques de Paulette

Les critiques de la Presse

  1. L'Humanité
    par Jean Roy

    La comédie italienne, ici francisée et mise au goût du jour, explose alors de tous ses feux. On en redemande.

  2. Télé 7 jours
    par Uriell Ceillier

    Inspirée d’un fait divers, cette comédie sociale à la Ken Loach, signée du fils de Robert Enrico, met avec drôlerie l’accent sur la précarité et la délinquance des seniors. Dans le rôle-titre, plus attachante que Tatie Danielle, Bernadette Lafont, délicieusement gouailleuse, est remarquable.

  3. par La rédaction de Public

Bernadette Lafont s'est manifestement régalée à incarner cette petite vieille indigne, raciste et odieuse qui va retrouver le sourire en vendant de l'herbe. Un film moral et terriblement jouissif !

  • Le JDD
    par Jean-Pierre Lacomme

    En dealeuse du troisième âge, Bernadette Lafont est épatante de même que ses copines carte Vermeil, mais il manque à l’ensemble l’alacrité et la jubilation d’une de ces comédies italiennes façon Affreux, Sales et Méchants avec ses personnages hauts en couleur.

  • Evene
    par Olivier De Bruyn

    Derrière Bernadette Lafont, irrésistible dans le rôle-titre, on éprouve un plaisir en rien coupable à admirer Carmen Maura, Dominique Lavanant et Françoise Bertin métamorphosées en mamies dealeuses, nouvelles égéries de la « racaille » banlieusarde. Leurs prestations font (en partie) oublier les facilités d’écriture de ce « Weeds » à la française qui lorgne avec ostentation sur les comédies italiennes de l’âge d’or, mais qui, dépourvu de mise en scène, peine à dépasser le rang de divertissement honorable. À ne voir que pour une seule raison : ses remarquables comédiennes.

  • Le Parisien
    par Hubert Lizé

    Une fable gentiment amorale.

  • Télé loisirs
    par Gwénola Trouillard

    La recette est une peu trop légère pour faire planer. Ca manque de folie.

  • Libération
    par La rédaction de Libération

    Deux ou trois séries américaines sont déjà passées sur ce thème mais la présence de Bernadette Lafont en tête d'affiche est plus fort que tout.

  • Paris Match
    par Alain Spira

    Malgré une réalisation un brin chaotique, cette comédie aussi inégale qu'illégale finit par monter au cerveau comme un gros pétard grâce à ses interprètes qui se défoncent pour nous amuser.

  • VSD
    par La rédaction de VSD

    Bernadette Lafont trouve un rôle à sa mesure dans cette comédie surprenante.Grâce notamment à un scénario à la fois malin et rentre dedans, qui tient jusqu'au bout son parti pris d'amoralité.

  • A nous Paris
    par Fabien Menguy

    Reprenant une idée plus très neuve depuis la série Weeds ou le film anglais Saving Grace, Jérôme Enrico n’invente rien et se contente d’un scénario parfois fumeux, mais dont les sympathiques volutes font sourire.

  • Critikat.com
    par Ursula Michel

    Les insultes racistes qu’on pensait enterrées depuis longtemps refont surface dans cette comédie franchouillarde, mais au-delà du choc des mots (nègre, bougnoule, bamboula entre autres joyeusetés), c’est principalement la niaiserie ambiante du récit qui plombe le film de Jérôme Enrico. La resucée d’un fait divers (une retraitée qui se lance dans le trafic de stupéfiants) n’y change rien. La vieillesse est un naufrage paraît-il, et Paulette n’évite aucun écueil.

  • Nouvel Obs
    par Guillaume Loison

    Jérôme Enrico filme plutôt benoîtement cette équation de scénario explosive – Tatie Danielle meets la comédie sociale anglaise à la « Full Monty ». Dommage. Malgré le ronron téléfilmesque, les rebondissements tiennent en haleine, quelques personnages se dessinent. Paulette méritait mieux.

  • Ouest France
    par La rédaction de Ouest France

    Un scénario tiré d'une histoire vraie qui offre un rôle en or à Bernadette Laffont. Mais elle surjoue en permanence dans ce film de Jérôme Enrico qui hésite entre le mélodrame social et la comédie à l'italienne. Et se plante sur les deux tableaux.

  • Télérama
    par Guillemette Odicino

    Idée marrante, regard sur la banlieue plutôt franc et Bernadette Lafont, nickel en vieille coriace. Mais pourquoi une écriture si lourde et une mise en scène si peu... planante ?

  • Le Canard Enchainé
    par La rédaction du canard enchaîné

    Démarrant sur des clichés appuyés, cette comédie décolle presque grâce à l'abattage de Bernadette Lafont, qui campe une Tatie Danielle suburbaine au cœur finalement attendri par son petit-fils métis. Hélas, le scénario plombe ce bel effort.