Toutes les critiques de Palace pour chiens

Les critiques de Première

  1. Première
    par Veronique Le Bris

    Pour son premier long, Thor Freudenthal reprend une formule éprouvée sur Stuart Little : diriger de vrais animaux en les dotant de dons humains. En jouant sur la fibre affective et sur la découverte d’Emma Roberts (la nièce de Julia), il réussit une histoire légère mais émouvante.

Les critiques de la Presse

  1. Le Monde
    par Jean-François Rauger

    Palace pour chiens plaira sans doute et essentiellement aux très jeunes amateurs de facéties canines et d'histoires mièvres.