Date de sortie 30 novembre 2016
Durée 110 mn
Réalisé par Brillante Mendoza
Avec Jaclyn Jose , Julio Diaz , Geisler
Scénariste(s) Troy Espiritu
Distributeur PYRAMIDE DISTRIBUTION
Année de production 2016
Pays de production Philippines
Genre Drame
Couleur Couleur

Synopsis

Ma’Rosa a quatre enfants. Elle tient une petite épicerie dans un quartier pauvre de Manille où tout le monde la connaît et l’apprécie. Pour joindre les deux bouts, elle et son mari Nestor y revendent illégalement des narcotiques. Un jour ils sont arrêtés. Face à des policiers corrompus, les enfants de Rosa feront tout pour racheter la liberté de leurs parents.

Toutes les séances de Ma' Rosa

Critiques de Ma' Rosa

  1. Première
    par Frédéric Foubert

    Attendue sur la foi de ses premières images comme une balade coup de poing dans les faubourgs de Manille, Ma’ Rosa est surtout un drame néo-réaliste poussiéreux, qui témoigne de l’impact désastreux de l’esthétique Dardenne sur l’art et essai globalisé. C’est le récit de la nuit d’angoisse d’une famille vivotant de petits trafics, arrêtée par des flics corrompus, et qui va devoir sillonner la ville pour trouver de quoi payer la caution. Misère, violence, crystal meth et bruits de klaxon : le feeling documentaire est là, indéniable, mais ressemble surtout à un cache-misère, un prétexte pour excuser l’absence totale d’enjeux dramatiques ou d’empathie à l’égard de personnages totalement génériques, que Mendoza fait à peine l’effort de caractériser.
    Frédéric Foubert

  2. Première
    par Frédéric Foubert

    Attendue sur la foi de ses premières images comme une balade coup de poing dans les faubourgs de Manille, Ma’ Rosa est surtout un drame néo-réaliste poussiéreux, qui témoigne de l’impact désastreux de l’esthétique Dardenne sur l’art et essai globalisé. C’est le récit de la nuit d’angoisse d’une famille vivotant de petits trafics, arrêtée par des flics corrompus, et qui va devoir sillonner la ville pour trouver de quoi payer la caution. Misère, violence, crystal meth et bruits de klaxon : le feeling documentaire est là, indéniable, mais ressemble surtout à un cache-misère, un prétexte pour excuser l’absence totale d’enjeux dramatiques ou d’empathie à l’égard de personnages totalement génériques, que Mendoza fait à peine l’effort de caractériser. Inconséquent et soporifique.

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