Toutes les critiques de Comme le Vent

Les critiques de Première

  1. Première
    par Isabelle Danel

    La troisième fiction de Puccioni porte la trace de son passé de documentariste. À travers la véritable histoire d’Armida Miserere, directrice de prison en Italie de 1984 à 2003, il dresse le portrait effrayant du milieu carcéral et de la Mafia. La structure en flash-back et quelques sous-titres précisant dates et lieux alourdissent l’ensemble, mais cette femme éprise de justice et brisée par la mort de son compagnon, à la fois dure et fragile, est un mystère captivant. Et Valeria Golino lui confère une belle humanité.

Les critiques de la Presse

  1. A voir à lire
    par Jean-Claude Arrougé

    Autour d’Armida Miserere, directrice de prisons en Italie pendant vingt ans, un beau film engagé sur le combat contre "Cosa nostra" et une superbe histoire d’amour. Avec une comédienne exceptionnelle : Valeria Golino.

  2. Libération
    par Clément Ghys

    Chronique modeste et réussie sur l'évolution de la femme dans l'histoire du cinéma ibérique.

  3. Le Figaro
    par Marie-Noëlle Tranchant

    Comme le vent est un formidable portrait dramatique signé Marco Simon Puccioni, avec une Valeria Golino superbe de force et de douleur.

  4. Le Canard Enchainé
    par David Fontaine

    Ce film mélancolique de Marco Simon Puccioni est porté par la prestation de Valeria Golino, dans des paysages somptueux et sauvages. Malgré les imperfections, l'intention est touchante.

  5. Télérama
    par Blottière Mathilde

    Le film montre, parfois un peu trop, comment une tragédie personnelle peut forger un destin. S'il finit par emporter l'adhésion, c'est grâce à Valeria Golino.

  6. Le Monde
    par Sandrine Marques

    Abusant de tonalités bleues métalliques et de ciels comme des chapes de plomb, ses intentions sont lourdement traduites à l'image. D'évidence, il entend marquer la contiguïté entre l'univers carcéral et la vie de cette femme, enfermée en permanence dans la peur et le deuil. Cette souffrance ne s'apaisera que lorsque justice sera rendue. Mais la pesanteur de la mise en scène, elle, est sans appel.